• PHILOSOPHIES

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  • Ce que l'on ressent quand on constate qu'on a toujours été son option et jamais sa priorité

    Un homme dit :

    " Rien ne vous donne plus d'énergie que l'amour. Quand les choses vont très bien, vous vous sentez plein de vie, dynamique. Mais quand les choses ne vont pas bien, tout semble être une corvée, un très dur effort à accomplir, même le fait de vous réveiller et de sortir du lit le matin, peut sembler un vrai supplice. 
    Quand l'amour est là, s'il n'est pas réciproque, il sera votre propre enfer personnel. Je suis parvenu une fois de plus, à me retrouver dans la même situation avec, encore une fois, le même individu, et je ne peux pas le faire à nouveau. La pire chose qui peut arriver en amour, c'est de découvrir que la personne à qui vous tenez le plus, vous voit comme une option. Cela fait vraiment mal.
    L'amour est le meilleur ami de l'ego, mais, aussi son pire ennemi. Il peut nous faire découvrir les grandes capacités que nous possédons tout comme il peut détruire celle-ci en une fraction de seconde. Quand vous aimez quelqu'un, vous vous exposez, vous devenez vulnérable, montrant à cette personne un côté de vous que très peu de gens ont la chance de voir.
    Vous faites des sacrifices, en espérant que cette personne se rende compte qu'il ou elle vous aime tout autant et décide de partager sa vie avec vous. Mais quand vous réaliser que cette personne ne vous aime pas de la façon dont vous l'aimez, alors qu'elle signifie tout pour vous, et que vous réalisez que vous êtes juste une option, vous vous sentez comme une personne que l'on a posée sur une table et qu'une lame lui traverse le cœur. C'est le sentiment le plus horrible au monde.
    Nos egos ont l'incroyable capacité de nous faire du mal dans de multiples façons, vous vous sentez également susceptible de vous sentir incroyablement gêné. Quand l'amour n'est pas réciproque, vous vous sentez gêné d'avoir imaginé un amour qui n'existe pas, vous vous dites idiot. La personne que vous aimiez vous a fait douter de votre propre valeur.
    Vous pouvez croire que vous êtes une personne incroyable, vous pouvez avoir raison, pourtant, lorsque notre amour est rejeté ou pire encore que nous nous rendons compte que nous sommes une option, on en arrive à se demander si nous sommes aussi génial que nous le croyons.
    Bien sûr, nous avons tous des choses dont nous sommes fiers et d'autres moins.
    Vous dire que vous n'êtes pas assez au top vous fera vous fera faire une rétrospection, mais ce que vous devez en déduire, c'est que le problème ne réside pas en vous, mais plutôt de l'autre. Mais en venir à une telle conclusion va prendre du temps, et le temps qu'il faut pour arriver à une telle conclusion ne sera pas agréable.
    Votre avenir et votre vie seront complètement modifié. J'ai passé les quatre dernières années de ma vie à essayer de devenir la bonne personne pour ce que je croyais maintenant être la mauvaise personne. C'est effrayant.
    La plupart des gens ne se retrouveront pas dans ma situation exacte, mais depuis combien de temps vous avez été la poursuite de cet individu? Combien vous avez consacré? Votre vie, les décisions difficiles que vous aviez eu à faire, le fait est que vous avez créé un avenir dans votre tête pour vous deux, et maintenant, il n'y a plus d'avenir. Maintenant, vous devez recommencer à partir de presque rien, partir dans une direction dont vous n'êtes pas encore sûr qu'elle est la bonne. Il vous fait douter de votre perception du monde, de la vie et de votre réalité personnelle.
    L'amour a une façon de teinter tout ce que nous voyons en rose. Lorsque nous faisons les choses au nom de l'amour, tout a un sens, un but, une raison. Quand nous perdons cette raison, le reste de notre monde semble perdre de vue. Ayant été dans des circonstances semblables, je comprenais les risques d'échec. Mon monde n'a pas été construit sur des vues idéalistes de l'amour, mais, la plupart des gens construisent leur concept de l'amour sur ces vues. Mon monde reste intact parce que je voyais et calculé le risque d'échec. Je savais dans quoi je m'embarquais et construis ma réalité autour de cette connaissance. La plupart des gens, malheureusement, sont complètement aveuglés par un tel chagrin, ils ne le voyaient pas venir le coup, et quand il vient, il est dur, le choc, leur monde disparaît littéralement. La seule bonne nouvelle est que si jamais cela vous arrive de nouveau, vous serez mieux préparé.
    Peut-être que vous devriez laisser cette personne partir, peut-être que vous devriez supprimer vos émotions.
    Vous avez le droit d'être énervé, oui, très remonté. La colère peut être une source de motivation incroyable; vous devez juste être sûr de ne pas diriger cette énergie sur vous ou sur celui ou celle qui vous a rejeté. Vous en avez déjà assez , et celui qui vous a blessé n'en vaut pas la peine. Vous devez quand même réaliser que vous devez ralentir, revenir sur vos pas, regrouper vos esprits et vous redirigez. Vous avez besoin de quelques jours pour vous défouler, mais assurez-vous de ralentir par la suite et faire face à la situation. Ralentir. Trouver les leçons qui doivent être apprises. Prenez le temps de renouer avec le monde autour de vous, le monde physique qui existe en dehors de votre tête et de progresser. Ce ne sera pas facile, mais la vie n'est pas FACILE et il ne le sera jamais. Tout ce que vous pouvez faire c'est de continuer à travailler vers une vie meilleure, une meilleure réalité, un monde meilleur. Et, bien sûr, faire de votre mieux pour profiter de chaque étape tout au long du chemin. Il ne faut jamais vous permettre d'être l'option de quelqu'un et surtout pas sa deuxième.
    Ayez un peu de respect pour vous-même et de trouver quelqu'un qui comprendra votre vraie valeur, comme vous méritez d'être aimé. Vous pourriez passer des années demeurant dans votre misère et votre chagrin, ou vous pouvez vous ramasser et vous concentrer sur d'autres domaines de votre vie vous-même; l'essentiel c'est d'aller mieux, vous finirez par trouver quelqu'un qui veut rien de plus que de vous aimer et quand ce jour viendra, le voyage que vous avez fait aura tous son sens. "

    (http://buzzfil.net) 

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  • Ce que ce père fait quand il trouve sa fille de 17 ans allongée sur le divan familial avec un inconnu est extraordinaire !

      

    Ce vieux russe nous raconte ce qui lui est arrivé il y a de cela une quinzaine d'années, avec sa fille qui avait 17 ans à l'époque ; quand il l'a trouvé, allongé sur le divan familial avec un inconnu.
    Voici l'histoire :

    " Un matin, alors que je descendais les escaliers, je tombe exactement sur cette scène: ma fille de 17 ans couchée dans cet état avec un inconnu dans notre divan familial. C’était visiblement une nuit de “dur travail” pour les deux. J’ai tranquillement fais le petit déjeuner et je suis remonté dire à ma femme, à mon fils et à mon autre fille plus jeune d’être très silencieux car il y avait encore des gens qui dormait.

    Notre table à manger se trouvait en face du divan, à environ 6-7 mètres du divan, mais directement en face. Lorsque toute la famille s’est installée à table, j’ai dis d’un ton sec: “JEUNE HOMME!” Je n’ai jamais vu quelqu’un se lever aussi rapidement de toute ma vie. Ce jeune homme venait de passer de la position horizontale à la position verticale en une fraction de seconde. “Le déjeuner est prêt”, j’ai ajouté en tirant la chaise à côté de moi. “Viens t’asseoir”.

    Il s’est levé, tentant de cacher sa bosse matinale dans son caleçon. Une bosse fort impressionnante je dois l’avouer. Ma femme et ma plus jeune fille l’ont d’ailleurs regardé avec de gros yeux ronds.

    Après s’être habillé, il a parcouru les quelques mètres séparant le divan et la table à manger et c’était certainement les mètres les plus pénibles de toute sa vie. Je l’ai regardé droit dans les yeux en prenant ma voix la plus sérieuse et je lui ai dis: “J’ai une question pour toi… la réponse est très importante… POUR TOI!”, à ce moment, on pouvait voir qu’il avait très chaud. Des gouttes de sueurs s’étaient d’ailleurs formées sur son front… “Aimes-tu les chats?” j’ai ajouté. 

    Il était un garçon très aimable et très amical. Clairement sous-éduqué, mais pas idiot. Ma fille m’a rassuré qu’il était très gentil et très attentionné. Elle le connaît depuis environ un mois, mais il n’avait jamais passé la nuit ici.

    Il venait la chercher le matin pour aller la porter à l’école sur son vélo, la ramenait le soir. Il prenait soin d’elle lorsqu’elle était malade. Il s’assurait qu’elle fasse ses devoirs. Il a investi beaucoup de temps et d’efforts au près de ma fille. Il avait même une patience d’ange lorsqu’elle était dans cette période du mois…

    Il m’a dit qu’il n’avait pas de famille, pas d’éducation, pas de travail stable. Elle l’adorait. Il l’adorait. Qui était-je pour les empêcher d’apprendre de leurs propres erreurs?

    8 mois après que j’ai fais sa connaissance, mon fils est venu me voir en me demandant plus si j’en connaissais plus sur ce jeune homme. Il se trouve qu’il était un itinérant, son père était abusif et s’est suicidé. Sa mère, une crackée s’est également suicidée alors qu’il n’avait que 15 ans. Il est parti vivre dans la rue pendant 3 ans. Il dormait dans les parcs, les refuges pour sans-abris, etc. Il faisait des petits travaux de construction pour se payer à manger. 

    Mais tout cela n’avait pas d’importance, moi ce que je voyais maintenant c’est un jeune homme de 18 ans, toujours poli et serviable, qui arrive à la maison avec le sourire et repart de la maison avec le sourire. Il nous aidait… et le plus important de tous, il rendait ma fille heureuse.

    Parfois il ne venait pas pendant quelques jours car il avait un travail de construction à l’extérieur de la ville, on s’ennuyait alors de lui. Ma plus jeune fille lui faisait confiance et savait qu’il ne ferait jamais de mal à sa grande soeur, ma femme avait développé un instinct maternel pour lui et mon fils l’appréciait également. Moi? Moi, je m’inquiétais pour lui, je voulais qu’il soit heureux.

    Lorsque j’en ai parlé à ma femme et à ma plus jeune fille, j’étais furieux que ma plus jeune fille sache déjà tout ça à son sujet mais ne me le dise pas. Sa soeur lui avait tout raconté, elle savait tout mais n’a rien dit! Elle l’apprécie et elle le laissait repartir tous les soirs comme ça, où?????

    Le jour suivant, je lui ai donné une clé de la maison, je lui ai dis que je l’attendais à la maison tous les soirs. Durant les semaines qui ont suivi, nous avons rénové la chambre d’amis et on l’a amené acheté des meubles. Il était très bon pour construire des choses et il m’a avoué qu’il voulait être son propre boss, il adorait construire des choses.

    Ça c’était en 2000, aujourd’hui, 15 ans plus tard, ma fille et mon gendre nous ont donné trois magnifiques petits-enfants, ils ont une compagnie profitable et ils s’adorent plus que tout au monde. Si vous vous demandez pourquoi je vous raconte tout ça, c’est bien simple: ne laissez pas la première impression que vous avez de quelqu’un gâcher toute une vie. "

     

    (buzzfil.net)

     

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    " Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?

    L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?

    Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.

    Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le souvenir et l’expérience de mon peuple.

    La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.

    Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme, tous appartiennent à la même famille.

    Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.

    Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.

    Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert.

    Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l’odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.

    L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.

    La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.

    L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.

    Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre.

    J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.

    Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes choses se tiennent.

    Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.

    Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.

    Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.

    Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même.

    Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être un jour, c’est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.

    Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.

    Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.

    La fin de la vie, le début de la survivance. "

    Chef Seattle, 1854

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