• ANIMAUX

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  • Il y a une raison pour laquelle les chiens sont appelés «le meilleur ami de l’homme» : ils sont parmi les plus joyeux et heureux animaux domestiques que vous trouverez.

    Lorsque vous êtes de mauvaise humeur, vous savez que vous pouvez toujours compter sur votre ami canin pour vous faire sourire.

    Les chiens dans ces photos ne sont pas différents : leurs sourires sur leurs visages sont assurés d’en coller un sur le vôtre aussi !

     

    24 chiens aux plus beaux sourires qui vous feront sourire à votre tour !

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  • Quand un homme a entendu aboyer devant sa maison au milieu d’un rude hiver du Nord, il savait qu’il y avait là­ bas quelqu’un qui avait un besoin urgent d’assistance. Le pauvre chien qu’ils ont trouvé était piégé jusqu’au ventre dans un lac glacé.

    Ses appels à l’aide mettront des larmes dans vos yeux quand un membre de l’équipe de sauvetage fera soigneusement son chemin à travers la glace pour le récupérer. Charlie était si froid et affaibli qu’ils ont dû le conduire à l’ambulance où ils l’ont soigné avec de la chaleur et des couvertures chaudes afin de dégivrer sa fourrure glaciale.

    L’animal s’est débattu pendant plusieurs minutes avant que de valeureux pompiers ne s’aventurent sur la glace fragile du lac pour atteindre le trou d’eau dans lequel le pauvre chien était livré à son sort.

    Ce Labrador Retriever a eu la chance de survivre à sa mésaventure dans les eaux glacées d’un lac. Espérons qu’il aura appris sa leçon, s’éloignera de l’eau et de restera près de la maison pendant l’hiver à partir de maintenant.

     

     

     

     

     

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    RÉVOLTANT !!!

     

     

     La photo que vous allez voir ci-dessous est l'œuvre de la photographe allemande Kerstin Langenberger. On y aperçoit un ours polaire terriblement maigre jusqu'à laisser apparaitre ses os collés sur sa peau. Un cliché qui n'a pas manqué de provoquer un tollé sur la toile. Depuis sa publication, la photo a été partagée près de 36 000 000 de fois sans compter la médiatisation de cet évènement. L'ours visiblement fatigué et affamé, la photographe a affirmé que ce drame était provoqué par la fonte des glaces qui est elle même causée par le réchauffement climatique.  Elle va ajouter que les femelles seraient plus touchées que les mâles par ces conséquences néfastes parce qu'elles donnent naissance sur la terre ferme et la chasse sur la banquise fondue étant impossible, la nourriture est donc presque inaccessible.

    C'est sur cette même logique que le Dr Ian Stirling, chercheur spécialisé en ours polaires de l’Université de l’Alberta a déclaré auprès du National Post "il n’y a tout simplement pas assez à manger sur la Terre pour supporter tant de grands ours."

     

    Donnez vos avis !

     

     

    La photo d'un ours polaire d'une maigreur squelettique a provoqué un tollé sur la toile !

     

    http://buzzfil.net

     

     

     

     

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  • Frappé par une voiture, ce chien ne voulait pas mourir, une histoire déchirante !

     

     

    L’histoire de Lawson, un chien errant d’Istanbul, est absolument déchirante. Frappé par une voiture alors qu’il traversait la route en quête de sécurité et de nourriture, l’impact le laissa complètement paralysé au niveau des pattes arrières.

    Laissé pour mort sur le bord de la rue, personne n’est venue à sa rescousse avant plusieurs jours. Agonisant, il tenta de se traîner sur ses pattes inertes mais se blessa la peau, qui s’arrachait à cause de la friction causée par le contact de l’asphalte.

    Cela devenant de plus en plus difficile et étant considérablement affaibli, Lawson est devenu quasi inerte, attendant la mort sans jamais lâcher prise. Finalement, un résident du secteur se décida à communiquer avec un organisme qui vient en aide aux animaux errants. C’est alors que des bénévoles de l’association de défense des animaux “He’Art” l’ont repéré et ont immédiatement volé à son secours ! Âgé d’à peine un an, Lawson fut pris en charge. Toutefois, la paralysie de Lawson faisait en sorte qu’à chaque fois qu’il tentait de marcher, l’expérience était un véritable supplice.

    Ils ne pouvaient tout simplement pas se résoudre à laisser le pauvre Lawson dans cette situation ingérable, surtout après qu’il ait fait preuve de tant de courage et de force. La spécialité de ce mouvement de défense animalière est la gestion et l’amélioration des handicaps chez les animaux.  Grâce à de généreux donateurs, ils ont décidé de fabriquer un fauteuil roulant sur mesure pour Lawson, dans lequel il a pu être installé après avoir repris des forces !

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ruggles et Chompers ont eu un début difficile dans la vie. Ruggles est un doux petit Shih Tzu qui a été sauvé d'une usine à chiots buste l'an dernier, et Chompers a été trouvé sous un porche quand elle avait seulement deux jours. Malgré les difficultés rencontrées si tôt dans la vie, ces deux-là ont trouvé le réconfort qu'ils cherchaient, chacun dans l'autre et sont devenus de meilleurs amis. Lorsqu'ils jouent ensemble, vous ne pouvez qu'être gaga face à un si beau spectacle.

     

     

     

     

     

     

     

    http://buzzfil.net

     

     

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  • Ce jeune poulain n’était pas très sûr de savoir comment franchir ce petit mur. Mais heureusement, sa mère était là pour lui apprendre une leçon importante…

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://tflnews.info 

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  • Des tueurs de chiens sont passés à tabac par des villageois chinois pendant plus de neuf heures.

     

     

     

    Duo de voleurs de chiens a bien mal choisi le village où sévir, et les deux hommes ont été victimes d’un tribunal populaire. Les deux voleurs ont apparemment été pris sur le fait, en train de dérober et de tuer les chiens d’un village chinois, afin d’en revendre la viande.

    Lorsque les villageois en colère ont mis la main sur les voleurs, qui détenaient alors deux animaux morts, ils les ont roués de coups pendant neuf heures successives, avant d’attacher les cadavres canins autour du cou des bandits.

     

    Selon People’s Daily Online, cet incident s’est déroulé mardi matin, aux environs de 7h, dans le village de Shaping, situé dans le Comté de Yizhang, dans la Province du Hunan.

    Des tueurs de chiens sont passés à tabac par des villageois chinois pendant plus de neuf heures.

     

     

     

    Lorsque la police est arrivée dans l’après-midi, afin de séparer les villageois et de mettre un terme aux violences, elle a rencontrée une résistance certaine de la part des habitants de Shaping. Les officiers de police ont tenté de calmer les villageois, et leur ont expliqué que la justice populaire n’était pas une forme acceptable de punition.

    Les villageois, cependant, ont alors décidé d’empêcher les agents de police de ramener les suspects jusqu’au poste le plus proche. La foule exigeait par ailleurs une rançon d’1 million de Yuans (145000€) en échange des deux hommes.

    Certains des villageois ont alors commencé à lancer des pierres sur la voiture de patrouille, et ont menacé les officiers à l’aide de barres de métal, avant de tout simplement casser le pare-brise de la voiture.

     

    Des tueurs de chiens sont passés à tabac par des villageois chinois pendant plus de neuf heures.

     

    D’autres personnes se sont étendues devant la voiture de police afin d’empêcher que les officiers n’emmènent les voleurs.

    Il a fallu attendre l’arrivée du Bureau de Sécurité Publique de Yizhang et des autorités régionales pour que la situation se calme enfin.

    De nombreux villageois ont ainsi été inculpés d’incarcération illégale, d’assaut, et d’obstruction à la justice. Les deux suspects sont désormais dans les mains de la police, et une enquête officielle est en cours.

     

     

     

    http://tfldirect.com

     

     

     

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  • Un Américain prénommé Jared a remarqué un chien enchaîné dehors sous la chaleur insoutenable de Phoenix, en Arizona. Plusieurs fois, l’homme passait seulement pour voir si le chien était toujours enchaîné, sans jamais agir. Le chien aboyait et grondait.

    Jared était un peu effrayé par ce chien, mais un jour, il a décidé de faire quelque chose de différent. Dans la vidéo,on voit Jared, assis près de la clôture, attendre de voir la réaction du chien. En quelques minutes, le chien hésitant avait rampé sous l’escalier, pour venir en direction de Jared.

    Un jour, alors qu’il le caressait à travers la clôture, le propriétaire est venu à l’extérieur. Dans une confrontation surprenante, Jared a insisté pour lui mentionner que son chien besoin de soins médicaux. Le propriétaire s’est moqué de lui, il a insisté sur le fait que le chien était agressif et c’est alors qu’il a dit à Jared que ce chien avait été enchaîné pendant 10-15 ans. Toute une vie de négligence et de cruauté. Comment a-t-il pu lui faire une chose pareille?

    C’est alors que Jared viendra voir le chien chaque jour jusqu’au moment où il annonce à la propriétaire qu’il souhaite le récupérer. La maîtresse prend cette proposition à la rigolade car l’animal est, selon elle, agressif.

    J’ai dit à la propriétaire que je ne partais pas sans le chien. Je ne pouvais pas l’adopter moi-même, mais je savais que je ne pouvais pas le laisser. Au bout de quelques minutes, elle a accepté de me le remettre. Elle a dit que le chien me mordait si j’allais près de lui. Mais j’ai insisté et finalement, elle me l’a remis.

    Finalement, Jared a adopté ce chien, car il est vraiment incroyable.. Regardez-le, la liberté lui va à ravir! Tout est bien qui finit bien pour lui qui a trouvé quelques amis avec qui jouer.

     



     

     

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  • Un petit bout'chou de quatre ans, c'est trop mignon. Et un chat, un chien, ou autre animal, ça ne peut être que craquant ! Alors, imaginez les deux ensemble... C'est bien simple, on fond instantanément !

     

     

     



     

     

     

     

    http://www.lesfillesabuzzent.com

     

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  • Lorsque les sauveteurs apparaissent, cette chienne errante panique. Mais regardez bien comment elle réagit ensuite…

     

     

     

     

     

    Cette femelle golden retriever vivait dans la rue depuis des semaines lorsque l’organisation Hope for Paws est intervenue. Jusque là, personne n’avait été en mesure de s’approcher d’elle, mais regardez bien ce qui se produit lorsque l’équipe décide de passer à l’action…

    Vous n’en croirez pas vos yeux lorsque vous verrez comment tout se termine…

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://tfi-direct.com

     

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  • Voici en photos l’histoire touchante d’un chien errant en surpoids

     

     

     

    Alors qu’il n’était encore qu’un chiot, Bolinha a été abandonné près d’une station essence au bord d’une autoroute, au Brésil. Ainsi, pendant 13 ans, ce chien a vécu là, en étant nourri par les employés de la station-service et les routiers de passage.

    Avec le temps, Bolinha est devenu obèse (ce qu’il mangeait n’était pas forcément très sain), avait de plus en plus du mal à respirer et, plus globalement, sa santé se dégradait. Peu de personnes s’en souciaient car le “chien obèse” était devenu une attraction au sein de la station-service. Et aucun ne le voyait comme un animal abandonné, dans le besoin… Mais ça, c’était avant. Avant que ce chien ne croise, en septembre 2014, la route d’un homme providentiel qui a eu pitié de lui. En trouvant Bolinha au milieu d’un tas d’ordures, il a décidé de l’emmener à l’Animal Protection Organization, une association militante engagée dans le bien-être des animaux. Son héros ne s’est pas contenté de donner à ce chien tout l’amour dont il manquait, il a aussi veillé à ce qu’il soit suivi médicalement ! Suite à cette prise en charge, la vie de Bolinha a considérablement changé. Doucement mais surement, il a commencé à perdre du poids, pour afficher une perte sèche de 13 kilos, en un an !
    L’évolution de Bolinha à partir du moment où il vivait à la station de service jusqu’à ce qu’il trouve une nouvelle famille, et qu’il aille mieux, est merveilleuse ! C’est impressionnant et ça fait chaud au cœur de savoir ce chien en bien meilleure santé à présent !

     

     

    Voici les photos montrant son évolution :

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

    Ce chien abandonné et obèse était l’attraction d’une station-service jusqu’à ce qu’il trouve son sauveur !

     

     

     

    Je n'ai que deux choses à dire : MERCI D'AVOIR AIDÉ CE PAUVRE CHIEN ! ET BRAVO !

     

     

     

    http://topretrievers.com

     

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  • Un homme dénonce son voisin et la façon dont il traite son chien en lui laissant un « petit mot » sur la porte de leur immeuble…

     

     

    Un homme maltraite son chien, tout l’immeuble l’entend ! Son voisin lui laisse un mot…

     

     

    On le dit, le répète et le répète encore: la maltraitance envers les animaux est INACCEPTABLE ! Malheureusement, il reste encore des personnes sans coeur, qui prennent plaisir à faire souffrir ces petites bêtes sans défense.

    Si certains restent insensibles à la maltraitance des animaux, d’autres n’hésitent pas à dénoncer un acte déplorable. C’est ce qu’a fait un homme qui n’en pouvait plus d’entendre le chien de son voisin gémir sous les coups impitoyables de son maître.

    Il a fait cela très simplement et sans répondre par la violence: en laissant un mot sur la porte du hall de l’immeuble en s’adressant à son fameux voisin violent.

    Jugez par vous-même, le jeune homme prend brillamment et avec justesse la défense de ce pauvre chien.


    On ne sait pas dans quelle résidence ont lieu ces violences et si le chien a pu être sauvé et débarrassé d’un maître aussi tyrannique. Mais nul doute que ce mot sur la porte d’entrée de l’immeuble a dû faire réagir !

     

     

     

    http://topretrievers.com

     

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  • Contre toute attente, ces deux chiens abandonnés ont trouvé une compagnie idéale : celle l’un de l’autre.

     

     

     

    Delaware, un pitbull bâtard, et Kyra, une femelle labrador bâtarde, sont devenus colocataires à leur arrivée au sein des Services Animaliers de Fulton County, à Atlanta, en Géorgie.

    Les deux chiots ont été observés blottis l’un contre l’autre, profitant de cette amitié inattendue née dans des circonstances pourtant assez peu favorables. Leurs câlins sont clairement l’un des moments les plus adorables de l’histoire du monde canin.

     

    Les liens existant entre ces deux animaux sont très forts, et l’on ne peut qu’espérer qu’ils soient adoptés au sein du même foyer.

    Les chiens adoptés dans un refuge font souvent des animaux de compagnie exceptionnels, et leur trouver un foyer améliore grandement leur santé globale, ainsi que leur bien-être. L’adoption d’un animal domestique est le moyen idéal pour ajouter un chat ou un chien à votre foyer, en lui donnant au passage une seconde chance.

    Mise a jour: “C’est enfin leur tour !! Kyra et Delaware ont été adoptés, et finiront leurs jours au sein de la même famille !!  Beaucoup de personnes se sont mobilisées pour aider ces deux petits, et cela a servi à quelque chose. Partager peut sauver des vies.”

     

    (http://tflnews.info)

     

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  • Coincé dans la boue pendant 3 jours

     

     

     

     

     Piège funeste, ils se sont alors occupés du pauvre chien, et l’ont rapidement emmené à la Clinique vétérinaire de Sugartown, où il a été soigné, puis rendu à son maître.

     
    Pluto
     
    Pluto est désormais de retour dans sa famille, et s’est bien remis de son aventure. Quelle chance que les agents de police aient été là pour sauver la vie de ce chien !
     
     
     
     
     
     
    (CBS12.com)
     
     
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  • Une photo déchirante les sauve de l’euthanasie. Quelle histoire touchante,!

     

     

     

     

    UN APPEL À L’AIDE QUI BOULEVERSE LES INTERNAUTES

    Deux chiens d’Atlanta ont échappé à l’euthanasie à la dernière minute grâce à la solidarité des internautes.

     
     

     

    Un terrible compte à rebours s’était enclenché pour Keira et Kala, deux chiennes de la région d’Atlanta, abandonnées par leurs maîtres. Enfermées dans un refuge, les deux bêtes étaient promises à une mort imminente et certaine n’ayant pu être placées dans une nouvelle famille. Alors qu’il ne leur restait plus que quelques heures à vivre, l’un des bénévoles d’Angel Among Us Pet Rescue, une association militant pour éviter l’euthanasie des animaux dans les refuges, a posté la photo qui les allait les sauver. Un cliché terriblement émouvant où les deux chiennes en cage semblent s’éteindre pour se consoler.
     
    Une photo accompagnée d’une note écrite du point de vue de Kala :

    “Nous avons tellement peur ici. Les gens du refuge le voient mais je les ai entendus dire qu’aujourd’hui, c’est la date limite. Si personne ne vient nous chercher, nous serons les prochaines. Keira sait ce qui va se passer. Vous pouvez le voir dans ses yeux. Elle fait bonne figure mais moi, je sens bien son cœur battre très vite quand je m’accroche à elle. Si personne ne nous sauve, quelqu’un viendra l’arracher à moi. Je la regarderai partir dans le couloir. Elle ne reviendra pas et je pleurerai. Ils viendront me chercher ensuite et je ne serai pas aussi courageuse qu’elle. On s’est soutenu toutes les deux quand on était ici, dans ce chenil. Elle me redonnait espoir quand je n’en avais plus. Maintenant c’est fini. Sauf si…”

    Très vite, la photo, sur laquelle les deux chiens se font un câlin, devient virale. Des milliers d’utilisateurs de Facebook la partagent. Le plus rapidement possible car le temps est compté ! C’est alors qu’un miracle se produit. A peine deux heures et six minutes plus tard, l’association Angels Among Us Pet Rescue annonce que les deux chiennes ont été sauvées… et adoptées ensemble.

    euthanasie

    Happy end !

    “Nous n’avons pas de mots pour vous faire partager notre joie. Regardez leur joie avec leur nouveau maître. C’est pour des moments de bonheur comme ça que nous nous investissons autant pour les animaux”.

    Une happy end qui ne doit pas faire oublier que beaucoup d’animaux n’auront pas cette chance…

     

     

    (metronews)

     

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  • Ce chat était repoussé par tous et personne ne le touchait… jusqu’au jour où cet homme l’a fait !

     

     

     

    L’histoire ci-dessous est celle de Crado le chat, un chaton abandonné trouvé errant dans les rues. Mais à cause de son apparence malade, personne ne voulait s’approcher de lui. En fait, il a été appelé “Crado” par les gens qui l’ont remarqué. 

     

     

    Dans le complexe résidentiel où je vivais, tout le monde connaissait Crado. C’était notre chat de gouttière officiel. Dans la vie, Crado aimait trois choses : les bagarres, manger dans les poubelles et… l’amour, on va dire.

    Combinées à une vie à l’extérieur, ces trois passions avaient laissées leurs traces sur lui. Déjà, il lui manquait un œil, et là où il aurait dû se trouver il n’y avait qu’un trou. Du même côté, il lui manquait aussi une oreille, sa patte gauche avait dû être salement cassée à un moment et elle s’était ressoudée dans un angle bizarre, lui donnant l’impression de toujours vouloir prendre le prochain virage.

    Crado devait être un chat tigré gris sombre, exception faite des cicatrices qui couvraient sa tête, son cou et même ses épaules. À chaque fois que quelqu’un voyait Crado, il avait la même réaction. « Qu’est-ce qu’il est CRADO, ce chat !!! »

    On disait bien à tous les enfants de ne pas le toucher, Les adultes lui lançaient des pierres, le chassaient à coup de jet d’eau, l’expulsaient quand il essayait d’entrer chez eux ou lui claquaient la porte sur la patte quand il ne voulait pas partir.

    Crado, lui aussi, réagissait toujours de la même manière. Si vous l’arrosiez, il restait là, à se faire tremper, jusque ce que vous vous lassiez et que vous laissiez tomber. Si vous lui jetiez des choses, il venait pelotonner son long corps contre vos pieds en signe de pardon. Dès qu’il apercevait des enfants, il courait vers eux en miaulant comme un malade et venait frotter sa tête contre leurs mains, dans une quête désespérée d’amour. Si vous le ramassiez, il venait tout de suite mâchouiller votre chemise, vos boucles d’oreilles… tout ce qu’il pouvait trouver.

    Un jour, Crado a voulu partager son amour avec les huskys du voisin. Ils n’ont pas très bien réagi, et Crado a été salement amoché. J’ai entendu ses cris depuis mon appartement, et j’ai essayé de courir à son secours. Mais le temps que j’arrive jusqu’à lui, il était clair que la triste vie de Crado approchait de son dénouement.

    Il était étendu dans une mare humide, ses pattes de derrière et le bas de son dos grossièrement tordus hors de leur position normale, et une déchirure béante lacérait la bande de poils blanc qui descendait le long de son pelage. Tandis que je le prenais dans mes bras pour le ramener à la maison, j’entendais sa respiration sifflante et suffocante, et je le sentais qui luttait. Je me suis dit que je devais lui faire terriblement mal.

    Et puis, j’ai senti une sensation de succion familière sur mon lobe. Crado, malgré une telle douleur, soufrant et manifestement à l’article de la mort, essayait de me mâchouiller l’oreille. Je l’ai serré plus fort contre moi, et il a posé sa tête dans le creux de ma main. Puis, il a tourné vers moi son unique œil doré et j’ai entendu le son distinctif d’un ronronnement. Même dans cette douleur absolue, ce sale chat couvert de cicatrices ne demandait qu’un peu d’affection, peut-être qu’un peu de compassion.

    À ce moment, je me suis dit que Crado était la créature la plus belle, la plus aimante que j’avais jamais vue. À aucun moment il n’a essayé de me mordre ou de me griffer, ni de s’échapper ou de se débattre de quelque manière que ce soit. Crado m’a simplement regardé, me faisant totalement confiance pour alléger ses souffrances.

    Il est mort dans mes bras avant que je n’arrive chez moi, mais je me suis assise et je l’ai serré contre moi encore un long moment, en songeant comment un seul petit chat errant et balafré avait pu à ce point changer ma perception de ce qu’était la véritable pureté d’esprit, comment on pouvait aimer aussi entièrement et véritablement. Crado m’en a plus appris sur le don de soi et la compassion qu’un millier de livres, de leçons ou de talk shows n’auraient pu le faire, et je lui en serai toujours reconnaissant.

    Il était blessé à l’extérieur, mais j’étais blessée à l’intérieur, et il était temps pour moi d’aller de l’avant et d’apprendre à aimer véritablement et profondément. À me donner entièrement à ceux qui comptent pour moi.

    Beaucoup de gens voudraient être riches, avoir du succès, l’admiration, la beauté… Mais moi, j’essaierai toujours d’être Crado.

    On ne saura jamais si cette histoire est vrai ou pas, mais l’histoire de Crado nous offre une belle leçon d’amour et de compassion, malgré les coups, les railleries, la vie difficile et ce… jusqu’à son dernier souffle.

     

     

    (http://infokoha.com)

     

     

     

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  • Si certains chats et chiens se vouent un amour grandiose, d'autres par contre n'arrivent pas à jouer avec l'autre car ils se trouvent peut-être beaucoup trop différents.
    Voici une vidéo de chiens et chats qui ne font pas très bon ménage, vous allez mourir de rire.

     

     

    (http://buzzfil.net)

     

     

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  • La souffrance animale

     

     

    Actuellement, bien qu’il y ait des tas d’horreurs sur terre, il y en a une dont on ne parle pas beaucoup mais qui touche une grande partie des êtres vivants qui peuplent la planète. En effet nous ne faisons pas assez attention au sort parfois horrible destiné aux animaux. C’est pour cela que j’ai décidé de vous faire découvrir, dans ces quelques chapitres, ce qui se passe et ce que nous pouvons faire pour arrêter cette barbarie.  

    I. L’élevage Industriel

    1. Poulets et volailles de chair

    Chaque année 2 millions de volailles meurent dont l’immense majorité proviennent d’élevage industriel. Elles sont entassées dans des hangars nauséabonds sachant qu’un bâtiment peut contenir 15000 à 100000 oiseaux. À cause de leur alimentation contenant des antibiotiques et des promoteurs de croissance mais aussi des médicaments et autres produits chimiques et de leur sélection génétique les volailles gagnent le maximum de poids en un minimum de temps. Cette prise de poids anormalement rapide leur provoque des maladies cardiaques, des maladies du foie ainsi que des intestins trop gras et des os déformés ou cassants.

    Ce poids énorme sur leur squelette en formation leur provoque le plus souvent des infirmités douloureuses aux pattes et aux doigts. Environ 90% de ces poussins ont des problèmes de locomotion. A 5 semaines ils se battent pour tenter d’arriver aux points de nourrissage et d’abreuvement. Beaucoup ne survivent pas à cette compétition et aux conditions de vie : chaleur, stress, déshydratation, maladies, sous nutrition car ils ne peuvent pas toujours atteindre la mangeoire. Chaque année 30 à 40 millions d’oiseaux meurent et se décomposent dans les hangars avant l’abattage.

    Les hangars ne sont pas nettoyés pendant leur durée de vie et les déjections transforment la litière en une masse solide, humide et remplie de micro-organismes. Ils sont incapables de marcher à cause de la masse des autres et ayant même du mal à rester debout ils restent couchés sur une litière pleine d’ammoniaque. Il en résulte des brulures à la poitrine et des ulcérations aux pattes. Leur vie est donc une torture perpétuelle. C’est ensuite le tour du cauchemar de la capture et du transport vers l’abattoir. Des ramasseurs saisissent les oiseaux terrifiés par les pattes et les emportent jusqu’à une cage où ils sont entassés sans ménagement sans tenir compte de leurs os et de leur cœur fragile.

    L’opération se fait à toute vitesse. De ces manipulations brutales il résulte de nombreuses fractures et déboitements d’articulations. Les cages qui sont parfois endommagées permettent aux poulets de tomber sur la route et de se faire écraser par des voitures. On estime que 2,5 millions d’oiseaux meurent pendant le dernier transport à cause des chocs, du stress, de la chaleur ou du froid, de la suffocation et des blessures. Mais même en triste état beaucoup survivent jusqu’au couteau mécanique. Il faut aussi savoir que les morceaux de poulets séparés comme les ailes et les cuisses proviennent souvent d’animaux blessés ou malades qui n’ont pu être vendus entiers.

    Les morceaux les plus abimés finiront en blancs. Les poulets atteignent leur poids d’abattage à 40 jours contre 84 en filière traditionnelle et 5 à 10 ans s’ils étaient libres. Arrivés à l’abattoir les oiseaux sont arrachés de leur cages et leurs pattes sont positionnées dans des boucles métalliques sur une chaîne automatique, la tête en bas. Ils pendent ainsi quelques minutes avant d’être étourdis électriquement par une machine pas toujours efficace. En effet la technique courante consiste à tremper la tête de l’animal en la mettant dans de l’eau électrifiée mais beaucoup d’oiseaux relèvent la tête et ne sont pas étourdis.

    De plus pour éviter le problème de coagulation sanguine dans la viande le courant est souvent trop faible. Beaucoup se réveillent donc au moment où on leur tranche le cou. De plus les couteaux automatiques qui tranchent la gorge sont réglés sur une taille moyenne. Les petits oiseaux les reçoivent dans la tête les plus gros dans la poitrine. L’étape suivante est un système de plumage par eau bouillante bien que les volailles aient déjà presque totalement perdu leurs plumes sauf sur le cou ce qui est dù au stress. Voila comment est obtenu après éviscération un poulet prêt à cuire…

    2. Les poules pondeuses

    Elevage en batterie ce système productiviste nie l’existence de l’animal en tant qu’être sensible sacrifiant le bien être de centaine de millions d’individus à la seul rentabilité économique. Pourquoi les laisser bouger ? Etendre une aile ? Faire un nid ? Picorer comme n’importe qu’elle poule de basse-cour ? Pour une rentabilité maximale, il faut faire tenir le maximum d’oiseaux dans le minimum d’espace. La taille habituelle d’une cage est de 46 cm par 51 cm (montrer la cage) pour cinq poules ! L’envergure moyenne d’une poule les deux ailes étendue est de 75 cm !

    En clair Voler non ! Marcher non ! Les mouvements de sa tête sont eux aussi limités car la cage a une hauteur de 35- 40 cm Etendre une aile non plus ! Parfois une poule reste bloquée pour être délivrée que quand elle ira à l’abattoir. Les poules s‘ennuient à mourir, elles piquent donc tout ce qui leur passe sous la main au risque de blesser leur voisines ce qui, je le précise n’arriverait jamais dans la nature. En en cas d’agressions qui sont très nombreuses à cause du stress elles n’ont pas d’espace pour fuir. La fausse solution qu’ont trouvée les éleveurs est le débécquage qui existe aussi chez les poules de chair. L’opération consiste à couper une partie du bec avec une lame chauffée. Parfois les sadiques chargés de faire ce travail ratent l’opération et arrachent des becs. Comme le bec est un organe très sensible et très proche de la dent, le fait de l’arracher ou de la couper provoque une douleur atroce qui peut se prolonger longtemps, parfois même toute leur vie.

    Mais en plus de tout ça les poules pondeuses mènent une vie abominable à cause de l’odeur pestilentielle due aux déjections car cette méthode d’élevage permet de nettoyer le hangar que lorsqu’il est vide c’est-à-dire tout les 72 semaines soit tous les 1 an et demie. Ce qui provoque chez ces poules des maladies respiratoire et des blessures et infections aux pattes. Mais aussi à cause du bruit qui est constitué de dizaines de milliers de caquètements en permanence. De plus elles deviennent folles car elle n’ont ni sol à gratter, ni graine à picorer, ni espace, ni matériaux pour construire un nid et aussi à cause de leur nourriture uniforme et industrielle constituée de céréales, cadavres d’animaux, produits chimiques et de médicaments comme les anti dépresseurs et les antibiotiques. Mais les médicaments n’empêchent pas les poules de souffrir d’environ une vingtaine de maladie. Durant toute la vie de la poule son rationnement n’atteint que 70 % de la quantité normale d’eau et de nourriture qu’elle devrait avoir.

    Tout commence par un tri odieux car les mâles qui ne pondent pas et qui à cause de leur race ne seront jamais des poulets de chair sont inutiles. Ils vont donc, dés leur naissance par centaine de millions sur des tapis roulants qui les mèneront soit jusqu’à une broyeuse où la mort les attend soit jusqu’à des grands sacs plastiques ou ils étoufferont lentement.
    Les poules pondeuses sont enfermées dans des immenses hangars ou un éclairage artificiel sert à accélérer la ponte et où l’aération ne peut suffire en cas de grande chaleur. Comme durant l’été 1994 ou plus d’un million de poules sont mortes.

    Dans ces hangars démunis d’humanité deux tapis roulants évacuent chacun les fientes et les œufs et un troisième apporte la nourriture. Pou éviter les mouvements de panique qui sont souvent mortels chez ces animaux totalement perturbés personne n’approche du fond du hangar. De ce fait si une poule, dix ou cent meurent tout au fond personne ne verra rien de son agonie. Pour que les œufs ne se cassent pas le grillage où reposent les pattes des poules est en pente pour laisser les œufs rouler vers l’extérieur. Ce qui fait que les poules doivent constamment bloquer leurs pattes.

    Il en résulte un inconfort permanant et une horrible douleur dans les pattes. Car en dehors des maladies les pattes sont la principale source de douleur physique des poules pondeuses. Dans la nature une poule pond 170 œufs par an or dans les élevages industriel le rythme de ponte contre nature les oblige à en pondre 265 par an. Les poules pondeuses sortent des cages épuisées et très amaigries. Les scientifiques ont remarqué que les poules se retiennent de pondre jusqu’à une demi-heure à chaque œuf. Ce phénomène extrêmement douloureux est motivé par l’incapacité de pouvoir protéger sa progéniture.

    Ensuite c’est l’abattoir, à l’arrivée trois poules sur 10 ont des fractures dues au transport, à leur condition de vie et à la brutalité des ramasseurs pour les emmener vers l’abattoir. Les autres ont des déboitements d’ailes, des luxations et des blessures diverses. Le pire est que manger des œufs et de la viande provenant d’élevage industriel est dangereux pour l’homme. Car les animaux sont bourrés de médicaments en tout genre par prévention ou pour accélérer leur croissance. Et qu’en les mangeant nous prenons ces médicaments. Ce qui peut rendre le médicament inefficace sur l’homme et parfois même cancérigène.

    3. Les cochons

    La truie : Après l’insémination, la truie attend environ trois mois et est enfermée ou sanglée dans une stalle individuelle en pleine obscurité. Elle ne peut que se lever ou se coucher ce qui permet des économies de nourriture. Une semaine avant la naissance des porcelets la truie est bloquée dans une cage de mise à bas ce qui l’empêche tout autant de bouger. Ses petits peuvent donc téter sans qu’elle les écrase en se couchant ce qui n’arrive jamais dans la nature. Ses instincts maternels sont totalement niés, elle ne peut donc ni faire un nid pour la mise à bas, ni approcher ses petits.

    Et, quand elle se débat elle se blesse. Pour l’aider à survivre à se stress intense on la bourre d’anxiolytiques et d’antibiotiques. Les porcelets quand à eux reçoivent une injection d’antibiotiques et ont la queue et les dents coupées avec des pinces sans anesthésie. Pour soi disant minimiser les bagarres dues aux conditions de captivité. De plus les mâles sont castrés à vif. Et les jeunes sont sevrés précocement afin que la truie recommence un cycle au plus vite. Puis ils sont placés dans l’obscurité sur un sol en claire voie ce qui blesse leur pattes et provoque des boiteries, déformations et bien d’autres souffrances.

    Les porcs sont nourris d’aliments composés de céréales, de farine animale et d’accélérateurs de croissance ce sont les fameux antibiotiques. Les femelles sont traitées aux hormones et aux stéroïdes pour augmenter les portées et stabiliser les cycles de fécondité. Tous doivent vivre malgré l’ennui, l’immobilisation forcée, l’entassement, l’obscurité et l’air irrespirable qui provoquent des maladies graves. Le transport vers l’abattoir a lieu généralement de nuit. Les porcs ne verront ainsi jamais la lumière du jour. La chair des truies, meurtrie finira en rillette ou en saucissons. En dépit de la surproduction, certains envisagent l’hyper productivisme avec le porc transgénique. Des projets existent comme le porc encore plus gros mais la viande plus maigre, sans yeux donc grossissant plus vite du fait de leur immobilité ou à 4 jambons sur le modèle du poulet à quatre cuisses récemment fabriqué aux Etat Unis.
    Mais il existe une autre solution…

    En effet il existe actuellement 5% de porcs bio ou non qui vivent dans des conditions de semi-liberté mais ce qui ne change rien à la mort en abattoir. Cette forme d’élevage est plus respectueuse de l’environnement, plus saine et plus rentable avec moins d’investissements lourds en matière de bâtiments. Mais les éleveurs prisonniers du système intensif doivent rembourser leurs prêts sur de longues années, sans pouvoir facilement changer leur méthode de production. Sachant qu’une fois construit un élevage industriel est dur à faire fermer.
    Pour l’environnement et notre santé les agrandissements et les créations industrielles ne doivent plus être autorisés.

    Pourquoi être contre les élevages industriels de porcs ?
    1. L’élevage des porcs est un incroyable gâchis en nourriture car il faut plus de 6 kilos de céréales ou équivalent pour produire un kilo de viande et 50% de la consommation d’eau potable sert à l’élevage industriel.
    2. Les nitrates et nitrites contenus dans la viande de porc peuvent se transformer dans le corps humain en nitrosamines hautement cancérigènes.
    3. La présence d’antibiotiques qui sont des activateurs de croissance dans le porc induit une accoutumance chez les consommateurs pour lesquels les microbes deviennent résistants à tous les traitements mais ils peuvent aussi développer des cancers, des allergies et des stérilités. En Europe 70% des antibiotiques mis sur le marché sont destinés aux animaux provenant d’élevage industriel.
    4. Ces élevages ont provoqué la disparition de plus de 7 millions d’agriculteurs depuis 1946 et une crise de surproduction qui touche toute la filière agricole.
    5. L’élevage industriel ne respecte ni l’animal ni la nature. En 20 ans les élevages avicoles et porcins implantés en Bretagne ont multiplié la population de cette région par deux. Les rejets s’accumulent dans le sol, s’infiltrent dans les eaux, ruissellent vers les eaux superficielles et causent l’acidification des forêts et des espaces naturels. En 2000 à cause de ces élevages 63 % du territoire français était déjà en excès d’azote et plus de 50 % des rivières européennes polluées.
    6. Les élevages industriels sont aussi directement responsables de l’érosion des sols, de la disparition des prairies et des pollutions à l’ammoniac, méthane, métaux lourds, résidus médicamenteux et antibiotiques.

    De même pour les vaches laitières. Leurs veaux leur sont retirés à 8 jours. Après 5 ans d’ une production de lait contre nature, les vaches sont décharnées, ont des difficultés à marcher et sont envoyées à l’abattoir. Sans différence pour les veaux qui ont une courte vie dans la pénombre avec une nourriture liquide anémiante sans fer pour que la viande soit blanche comme le veulent les consommateurs. Ils vivent chacun dans des box de 90 cm ce qui est vite trop petit pour pouvoir se retourner. La cruelle séparation d’avec leur mère, l’ennui puis l’abattage. Ni soleil, ni herbes, ni compagnons de jeux. Voici leur vie !!

    4. L’abattoir

    Chaque année, des milliards de veaux, de vaches, d’agneaux, de moutons, de cochons sont transportés sans le respect des règles et dans le total mépris de leurs souffrances, à travers toute l’Europe, et vers le Moyen Orient et l’Afrique du nord. Après une immobilisation forcée de plusieurs mois, les animaux terrorisés, pouvant à peine marcher, sont embarqués à la hâte, la nuit, à coup de bâtons et d’aiguillons éclectiques. Les camions peu adaptés sont souvent sales et surchargés. Transportés durant des heures, des jours et des nuits sans eau ni nourriture, sans soin ni repos. N’ayant pas de place pour se coucher. N’en pouvant plus de fatigue les animaux s’écroulent et sont piétinés. D’autres meurent d’épuisement de suffocation ou de crise cardiaque. Le déchargement ajoute son point d’honneur avant la phase final : celle de la mise à mort.

    5. Ce que vous pouvez faire

    Réduisez ou supprimer vos achats de chair de cochon et refuser celle de porcs élevés en batterie. Agissez contre tout projet qui viendrait dénaturer votre région sachant que la mobilisation a empêché bien des élevages de voir le jour. Choisissez des œufs portant la mention élevé en libre parcours ou élevé en plein air. Faire attention aux indications comme de ferme, œufs frais, œufs datés car il cache un univers carcéral. Réagissez lors des enquêtes publiques d’ouverture ou d’extension d’élevage industriel. Persuader d’autres personnes de vous imiter. Faite attention aux aliments industriels tels les pâtes aux œufs frais, mayonnaises, pâtisseries, gâteaux secs flans et autres desserts. A eux seuls ils représentent plus d’un tiers des œufs de batterie consommés en France.

    Regarder le numéro sur les œufs avant Fr il faut qu’il soit 0 ou 1 mais pas plus sinon il provient d’élevage industriel. Enfin écrivez au fabriquant, leur service consommateur est inscrit sur les emballages pour signaler votre rejet définitif sauf si ils décident de changer d’approvisionnement et le signalent clairement. Plus la demande d’œufs venant de poules libres sera forte plus les prix baisseront.

    II. L’adoption

    1. La stérilisation

    En France nait environ chaque année 1,6 à 1,7 millions de chiots or il n’y a de place que pour un million. Plus d’un demi- million devra donc être tué.
    En France on estime que 4500 chiens et 8000 chats naissent chaque jour, bien trop nombreux pour être accueillis dans un foyer. Certain serons tués à la naissance quand aux autres malchanceux ils se retrouveront dans la rue sans abris, affamés, perdus. S’ ils ne sont pas heurtés par une voiture ils seront ramassé par la fourrière, par des pourvoyeurs de laboratoires ou, au mieux dans un refuge. Et seule une partie des animaux de refuges sera adoptée, la plupart du temps les autres seront euthanasiés à moins que le refuge, faute de place refuse de prendre des animaux.

    Croyez vous que l’euthanasie soit une bonne solution ? Non franchement je ne crois pas ! Faisons un test partons d’un couple de chats qui aurait une moyenne de 2 portées par an et que tous ces animaux procréent dans les mêmes conditions. Au bout de 10 ans il y aurait 80 millions de chat. Il faut donc les stériliser. La stérilisation est une opération légère pour le mâle qui pourra rentrer chez lui le jour même par contre la femelle pourra rentrer chez elle que le lendemain. Les progrès chirurgicaux ont rendu ces actes chirurgicaux moins lourds et plus faciles à supporter.Ceux qui respectent les animaux peuvent faire stériliser leur compagnon.

    C’est ainsi ne pas être complice de la misère engendrée par la surpopulation et le commerce des éleveurs et des animaleries. De plus la stérilisation réduit les risques de cancers d’environ 90%. Les animaux sont moins susceptibles de se battre ou de vagabonder, ce qui évite ainsi le danger des voitures et des voleurs d’animaux. Le coût de cette opération peut être élevé mais dites vous qu’il n’a lieu qu’une fois et que sur le long terme il est tout à fait rentable. Car il y aura moins de frais vétérinaires par la suite pour la mère et pour les petits qui auraient coûté cher à élever. La solution n’est bien sûr pas de les euthanasier à la naissance.

    Beaucoup de gens sont opposés à la stérilisation car ils s’identifient à leur animal. Ce n’est pas parce que votre chat ou votre chienne à été stérilisé que vous aller perdre votre virilité ou votre féminité. Il est nécessaire de comprendre que les animaux familiers ne vivent pas du tout leur sexualité comme les humains. On vous affirme parfois qu’il faut faire stériliser votre animal après qu’elle est eu une 1er portée ce qui n’est pas fondé scientifiquement. Aimer les animaux ce n’est pas s’extasier devant des bébés à l’avenir incertain. Sachant qu’un chat peut vivre 20 ans. Certain dise : J’arriverai à placer tous les petits. Mais rappelez vous que si vous y parvenez, c’est un refuge qui ne trouvera pas d’adoptants pour ses animaux, le nombre de familles n’étant pas extensible. Quand on leur force la main on risque de mauvais placements. La seul vraie solution est de limiter les naissances. Et il appartient à chacun de prendre soin de ses animaux plus qu’une preuve de responsabilité c’est un acte d’amour.

    2. Ne l’achetez pas, adoptez le

    Il est difficile de résister à ce gentil petit chien dans la vitrine pourtant ceux qui aiment les animaux et sont à la recherche d’un compagnon devrait ne jamais s’approcher des animaleries ! Le commerce des animaux de compagnie est cruel sous bien des aspects. Les animaux viennent souvent d’élevages ou les femelles sont considérées comme de vulgaires machines à chiots ou à chatons. Enfermées dans des arrières bâtiments de ferme, parfois plus de 100 chiennes dans un hangar, dans des caves ou des cages insalubres avec manques de nourriture et de soins elles finissent tuées ou vendues à des laboratoires.

    Une fois grands les bébés qui n’ont pas trouvé preneur subiront le même sort même chez les particuliers que la loi autorise à être fournisseur occasionnel pour l’expérimentation animale. Se disant éleveur amateur de nombreux particuliers saturent aussi le marché pour arrondir leur fin de mois. Il s’agit en fait d’élevage clandestin dont les conditions sont parfois loin d’être acceptables. De plus en plus de chiots et de chatons arrivent par camions des pays de l’Est chez des éleveurs vitrine. Après la séparation précoce avec leur mère qui elle reste dans l’enfer des élevages intensifs et un voyage parfois de milliers de kilomètres ils parviennent en France ou leur prix très bas procure de gros bénéfices même avec une mortalité élevée.

    Personne ne se doute de leur provenance ni de l’enfer entretenu par le commerce de ces animaux si mignons. Acheter un animal dans un élevage ou dans une animalerie n’est pas une bonne action. L’argent mis dans ce circuit contribue chaque fois au malheur de centaines d’autres animaux. Ceux qui vivent dans les élevages cachés du public et ceux qui trop nombreux finiront euthanasiés. Il n’ y a que deux solutions à la surpopulation : l’euthanasie de millions d’animaux comme c’ est actuellement le cas chaque année en France. Ou la régulation des naissances et du commerce. Alors si vous aimez vraiment les animaux allez en adopter dans un refuge. Si vous souhaitez un animal de race certains refuge en auront sans doute et sinon, vous pouvez contacter le club de la race en question et adopter un animal abandonné chez eux. Et n’oubliez pas qu’adopter un animal demande bien des réflexions.

    3. Les animaux sauvages chez soi

    Qu’il s’agisse de commerce ou de trafic d’animaux sauvages, de nombreux particuliers contribuent à appauvrir la planète. L’engouement des NAC ces nouveaux animaux de compagnie, fragiles, fait une multitude de victimes innocentes. Lors des captures et des transports. Découvrons pourquoi cette mode doit cesser. Même s’ils ne sont pas capturés dans la nature les animaux exotiques supportent mal la captivité. Leurs impératif biologique et leurs besoins comportementaux sont ignorés des acheteurs et méprisé des marchands. Le commerce mondial de faune sauvage représente plus de 5 milliards de dollars par an ! Plus les trafics. Comme si il était possible de faire vivre correctement un serpent entre 4 vitres, un perroquet sur un perchoir ou un fauve dans une cage.

    Ces animaux ne recherchent pas la compagnie de l’ être humain elle lui est imposée, souvent pour la frime et ils s’en accommodent plus ou moins mal. On ne peut que faire survivre les rescapés. Ce commerce pour des particuliers, des spécialistes ou des éleveurs met en danger de nombreuses espèces. Par exemple les perroquets gris du Gabon sont fréquemment vendus avec de faux papiers attestant qu’ils viennent d’élevage alors que leur vraie provenance est l’Afrique où leur population se réduit considérablement mais il n’y a pas qu’eux. Les poissons de mer sont très difficiles ou impossible à élever. Les techniques de capture font frémir. On verse un liquide toxique qui tue les plus proches et beaucoup d’autres animaux marins et paralyse les autres qui peuvent ainsi être récoltés. Beaucoup ne s’en remettent jamais voila pourquoi ils meurent si vite dans leur bel aquarium.

    La collectionnite n’est pas répréhensible quand il s’agit de timbres mais elle est scandaleuse quand elle contribue à faire disparaitre des espèces et qu’elle réduit des êtres sensibles à l’état d’objets. De plus il y a de gros risques, car si certains mordent ou griffent, de nombreux animaux sauvages véhiculent des maladies. Psittacose chez les perroquets, rage chez les mammifères, variole, tuberculose et virus chez les singes. Pour soi et pour les voisins s’il s’échappe, il peut constituer un réel danger. En boutique il n’ existe aucune norme légale pour les cages d’animaux sauvages. Seul compte les affaires. Il y a de nombreuses façons de faire croire qu’un animal sera bien chez vous y compris en vous attendrissant par ses conditions de vie médiocres en magasin.

    Conclusion :
    La nature à horreur des forêt vides, les animaux ont horreur des cages. Vous devez comprendre qu’il est absolument impossible de rendre heureuse des créatures qui ne sont pas faites pour vivre dans un jardin ou dans une maison. Nous vous demandons de ne pas les considérer en temps qu’espèces mais comme des individus. Ce sont des êtres sensibles pas des objets décoratifs, ni des faire valoir. Aimer les animaux c’est les aimer pour eux et non pour l’image qu’ils peuvent donner.

    Vous pouvez :
    * Ne pas acheter d’animaux sauvages
    * Ne ramenez pas (même mort) de l’étranger ni bébé singe, ni ivoire, ni coquillage exotique,ni tableau en aile de papillon.
    * Informer vos amis pour qu’il agissent de même expliquez leur pourquoi vous réprouver leur si bel aquarium tout autant que leur mygales, car s’ils ont des prisonniers, il faut que ce soit les derniers.
    * Ecrire au ministre de l’environnement pour demander l’interdiction de la détention des singes et des fauves par des particuliers.

    III. L’expérimentation animale

    1. Qu’est-ce que c’est ?

    Chaque année 60 millions de chiens disparaissent, 164 par jour. Ils sont revendus à des laboratoires clandestins et deviennent la proie d’un commerce révoltant.
    Si bon nombre d’animaux proviennent d’élevages spécialisés d’autres comme les singes sont capturés dans leur milieu naturel.
    87% des animaux subissent les expériences sans être anesthésiés. On mutile, on écrase des membres, on provoque des plaies, on sectionne la moelle épinière, on brule et éventre des chiens vivants…

    En plus des tortures qu’on leur inflige, leurs condition de vie sont traumatisantes : enfermement dans des cages exigües, sans lumière, stress, absence de contacts rassurants,
    Brutalités… 800 millions d’animaux : singes, chevaux, ovins, caprins, lapins, rats, souris, poissons, oiseaux, reptiles…meurent par an dans les laboratoires à travers le monde.
    7à 8 millions en France, 25 animaux par seconde. Ces expériences sont inutiles car on inflige aux animaux des maladies provoquées et de toute manière, leurs réactions seront différentes de celles des humains. Les effets secondaires des médicaments sont la 4ème cause de mortalité dans les pays développés, pourtant ces médicaments ont été testés sur les animaux ! Chaque année, 20 000 personnes meurent et 1 300 000 sont hospitalisées suite à l’absorption de médicaments. Si ceux-ci étaient testés par des méthodes rigoureuses existantes actuellement, cela pourrait être évité.

    2. Des alternatives existent

    Les expériences sur les animaux peuvent être remplacées par des méthodes substitutives comme les teste in vitro utilisant des cultures de cellules prélevé sur des humains. Cette nouvelle technique est plus écologique est plus fiable mais elle est freiner par des intérêts économiques.

    3. Comment lutter contre

    A notre niveau, une seule chose que nous pouvons faire est d’acheter des produits cosmétiques : shampoing, gel douche, parfum, maquillage… certifiés non testés sur les animaux.
    Quand c’est le cas c’est écrit au dos du flacon. Méfiez vous des vendeurs qui assurent que leurs produits sont non testestés sur les animaux car parfois ils n’en savent rien.
    Attention : un produit bio peut être testé sur les animaux. Pour avoir plus d’info vous prouver aller sur le site d’One Voice.

     

     

     

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  • Il faut stopper le carnage des chiens en Chine et au Vietnam !!! 

    En Asie, manger du chien ou du chat fait partie de la tradition culinaire. Si certains pays l’ont interdite, comme Hong Kong depuis 1950, Taiwan ou les Philippines, la Chine et le Vietnam, notamment, la perpétuent. Pour la justifier, ils avancent un certain nombre de croyances, sans fondements scientifiques reconnus, sur les bienfaits de la consommation de viande de chiens et de chats pour la santé humaine. Au nom de cette tradition, les plus proches compagnons des humains sont soumis aux pires horreurs et à une brutalité sans limite. A l’occasion d’une enquête sur le trafic de bile d'ours au Vietnam, One Voice découvre l’enfer vécu par les chiens. L’association diligente aussi une enquête en Chine : même constat dramatique.

    Il faut stopper le carnage des chiens en Chine et au Vietnam !!! 

    Une courte vie de misère


    Aucune loi ne protège ces animaux et la notion de bien-être animal n’existe tout simplement pas. Pour répondre à la demande, des élevages intensifs de chiens se sont développés. Aucune règle, aucune déontologie ne régit ces établissements. Les conditions de vie sont déplorables. A l’instar de nos propres élevages industriels, les besoins physiologiques et comportementaux des animaux ne sont pas respectés. Les chiens sont entassés dans des cages minuscules. Ils se battent et se blessent gravement. Nombre d’entre eux ne peuvent résister à la faim, la peur et la maladie. Ils meurent sans avoir connu le réconfort d’une caresse. Cette vie de misère est certes courte : la viande d’un jeune chien est préférée à celle d’un adulte. Au Vietnam, on tue les chiots de 8 à 10 mois pour avoir une viande plus tendre, et en Chine le Saint-Bernard est tué dès ses 4 mois. Toutes les races sont concernées. En Chine, le Saint-Bernard a longtemps été prisé pour son rendement. Aujourd’hui, les producteurs préfèrent des chiens moins coûteux à nourrir. Au Vietnam, ce sont des croisements de race qui fournissent la plus grande partie de la viande. En dehors de ces élevages concentrationnaires, des particuliers en élèvent pour augmenter leurs revenus, et les chiens errants, même avec collier, sont eux aussi destinés à la boucherie. Des ramasseurs professionnels récupèrent en masse ces derniers et ceux dont les propriétaires ne veulent plus. Pour tous les chiens qui résistent à ces conditions de vie sordides, le pire est à venir.

    Il faut stopper le carnage des chiens en Chine et au Vietnam !!!

     

     La barbarie en action


    Il y a d’abord le transport jusqu’aux lieux d’abattage, bien souvent le restaurant. Lors de l’enquête en Chine, les enquêteurs ont vu un camion transportant un millier de chiens véritablement entassés les uns sur les autres dans de petites cages grillagées, embarqués pour un voyage de 48 h, sans arrêt, urinant et déféquant sur eux, exposés aux intempéries, privés de nourriture et d’eau. Dans les rues chinoises ou vietnamiennes, les animaux sont transportés sur les porte-bagages des motos, eux aussi comprimés dans des cages trop petites et sans la moindre considération.
    Mais c’est dans la mort que culminent la barbarie et la cruauté. Toujours selon les croyances, l’animal doit être saigné lentement afin d’obtenir une viande riche en adrénaline réputée rendre les consommateurs plus virils. Bien sûr, les animaux ne bénéficient d’aucun étourdissement et c’est tout à fait conscients qu’ils sont martyrisés. Une fois livrés dans les restaurants ou les boucheries, les chiens sont attrapés au lasso ou acculés avec un bâton contre un mur et assommés avec un banal marteau. Le bourreau doit frapper à plusieurs reprises sur la tête des chiens dont le sang gicle abondamment. D’autres chiens assistent au carnage. Ils urinent de terreur. Une fois assommés, mais encore vivants, les chiens sont saignés avec un grand couteau enfoncé dans la trachée-artère. Ils sont ensuite ébouillantés, écorchés à la lame et jetés dans un feu de paille pour brûler le surplus de poils. Puis ils sont dépecés.
    De telles scènes sont visibles sur les trottoirs. Hommes, femmes et enfants assistent à la tuerie (cf. Enquête en Chine et Enquête au Vietnam). En Chine, par exemple, le chien est tué sur place après avoir été présenté à la clientèle.

     

    Il faut stopper le carnage des chiens en Chine et au Vietnam !!!

     

    Les chats pas mieux lotis


    Les chats ne connaissent pas un meilleur sort. Si longtemps leur consommation en Chine a été l’exclusivité de la région de Canton, certaines estimations font aujourd’hui état de 4 millions de félins consommés par an dans ce pays. Juste avant les J.O de Pékin, la ville s’est livrée à un véritable nettoyage embarquant tous les animaux errants et incitant les propriétaires à s’en séparer en raison « d’hypothétiques » dangers pour la santé humaine. Ces animaux ont été entassés dans des fourrières de fortune, véritables mouroirs, avant d’être euthanasiés.

     

    Il faut stopper le carnage des chiens en Chine et au Vietnam !!!

     

    Pour une loi de protection des animaux


    Un tel sort aux animaux familiers n’est certes pas la panacée de la Chine et du Vietnam. La Corée du Sud, pays ô combien développé, envisage d’accorder le statut d’animal de boucherie au chien, légalisant ainsi le commerce de sa chair. Les liens qui unissent le Vietnam et la France, nous portent à croire qu’il est possible de faire bouger les choses. En Chine, une enquête de 2004, menée avec la participation de One Voice, a révélé que plus des trois quarts des Chinois seraient partisans d’une loi de protection des animaux. Des militants s’y mobilisent pour le bien-être des animaux.

    Dans ces deux pays, One Voice s’est engagée auprès des militants en finançant des programmes de formation et en nouant des partenariats, par exemple avec l’association ActAsia en Chine. Elle multiplie également les actions auprès des gouvernements de ces pays pour interpeller et faire pression afin que ceux-ci interdisent cette industrie et ce commerce et qu’ils protègent de la cruauté ces animaux. Elle œuvre pour que ces pays, à l’image de Hong Kong, des Philippines et de Taiwan, interdisent la consommation de leur chair, et protègent tous les animaux.

    Un représentant de la Division Vétérinaire du Département de l’Agriculture, de la Pêche et de la Conservation du Gouvernement de Hong Kong a publiquement déclaré que les chiens ne pouvaient en aucune façon être élevés et abattus « décemment » pour leur viande.

     

    Il faut stopper le carnage des chiens en Chine et au Vietnam !!!

     

    MISE À MORT : L’HORREUR 


    Ci-après, une liste non exhaustive des techniques utilisées pour donner la mort aux chiens, ou chats, qui seront ensuite consommés :

     La strangulation : On attache une corde autour de leur cou, et on tire très lentement… pour l’étrangler afin que la mort ne surviennent pas trop tôt. En même temps, à l’aide d’un couteau, on découpe des morceaux de chair sur le chien encore vivant !…

    – L’ébouillantage: On prend des chiots ou des chatons, on les attachent près d’une marmite d’eau chaude, et on les jette l’un après l’autre. L’animal, hurle son agonie, l’eau étant maintenue à une température précise, pendant quelques secondes (pour que celui-ci ne meure pas sur le coup). Puis extrait de l’eau, il est écorché vivant. Enfin, sans peau et tandis qu’il respire encore, il est jeté dans un bac d’eau froide.

     

    –  La cage ronde: On place l’animal dans une cage ronde faîte de fils barbelés. Puis, l’homme à l’aide d’un bâton, au bout duquel s’y trouve un nœud coulant (pour y attraper la tête de l’animal sans ménagement). Un fois sorti, il est violemment battu avec un bâton muni d’un pic à son extrémité. Pendant dix minutes, des coups lui seront donnés… Puis un coup lui sera donné sur la tête juste pour le rendre semi inconscient. Et encore vivant, on le dépècera.

    Animal Equality est une organisation internationale de défense des animaux présente en Espagne, Angleterre, Italie, Mexique, Allemagne, Venezuela et Inde, qui dispose de plus de 200.000 sympathisants et dont les investigations dans les fermes de foie gras, les fermes de visons, les fermes de porcs, les  abattoirs, les fêtes avec animaux, les laboratoires et autres secteurs d’exploitation animale ont obtenu une répercussion internationale dans des medias réputés comme The Guardian, BBC, The Times ou le Corriere Della Sera entre autres.

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