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Par Salomé ATTIA le 4 Juillet 2015 à 15:04
Elle retrouve un vieux papier de publicité qui date de 15 ans dans ses bagages et décide de comparer les anciens prix qui y sont à ceux d'aujourd'hui. Le résultat est choquant !
Une jeune femme belge nommée Christine découvre dans ses affaires, une publicité d'un supermarché datant de l'an 2000. Sur ce vieux bout de papier étaient mentionnés des prix de produits et aliments. Nous avons vaqué vers l'Euro, et le coût de vie a augmenté.
Christine décide de comparer le prix du panier caddie moyen de l'époque et celui de 2015.
Le tableau en dessous en résumera tout :
Aujourd'hui :
Christine complètement révoltée envoie cette lettre en dessous au grand quotidien belge pour réveiller certaines la conscience de certaines personnes que ce massacre :
"Bonjour, je suis allée faire mes courses au supermarché du coin, ce même supermarché où à l’époque on a introduit l’euro. Or, en rangeant ma maison avant l’automne, j’ai retrouvé un feuillet publicitaire hebdomadaire qui s’appelle « Ma semaine », qui fut imprimé au printemps 2000. Je remplis donc un panier de ménagère type, avec mes courses de la semaine et là ? Est-ce le fruit de mon imagination, ou les prix ont-ils tellement augmenté par rapport à notre pouvoir d’achat ? Je me suis amusée à comparer 19 articles de base, ce que l’on peut trouver dans un ménage ordinaire et là, stupeur : mon enquête révèle une véritable explosion des prix en magasin, l’euro a exposé mon panier moyen !
Ma comparaison : si on déduit les 4 pots vitalinea et les 12 tablettes Dash « produit vaisselle », je peuxvous dire avec certitude que nous sommes carrément passés du simple au double. Tout a augmenté et bien plus encore hélas que ce qu'on pouvait penser. Je n’ai pas comparé le prix du bœuf, un article devenu aujourd’hui presque inabordable pour la famille, sans compter les articles d’hygiène, ni les journaux qui se trouvaient également fréquemment dans le panier de la ménagère, sans compter les taxes et les assurances, les loyers, le chauffage etc…"Et petit à petit on se rend compte que tout à augmenté ! :
(http://buzzfil.net)
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Par Salomé ATTIA le 4 Juillet 2015 à 14:09
Un rassemblement organisé devant l'ambassade du Maroc à Paris en soutient aux deux jeunes marocaines condamnées pour avoir porté une jupe
MANIFESTATION - L'affaire des des jeunes filles d'Inezgane poursuivie en justice pour atteinte à la pudeur dépasse les frontières marocaines.
L'Association Marocaine des Droits Humains (ADMH) a publié sur son site un appel à rassemblement en soutien aux deux coiffeuses prise à parti par la foule dans un souk de la petite ville du sud du Maroc.
L'ADMH dénonce dans son communiqué "un environnement de régression et d’attaques aux droits et libertés au Maroc" et parle d'une "atteinte grave aux droits de la femme marocaine".
L'organisation organise un sit-in le 4 juillet prochain à 15H devant l'ambassade du Maroc à Paris pour "dénoncer les atteintes aux libertés et demander l’abandon immédiat des poursuites contre ces deux jeunes filles qui n’ont rien fait d’illégal". Les participants sont invités à venir vêtus d'une tenue d'été.
Cet appel est cosigné par l'Association de défense des droits de l'Homme au Maroc, l'Association des Marocains en France, l'Association des travailleurs maghrébins de France, et AILES Femmes du Maroc.
(http://www.huffpostmaghreb.com)
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Par Salomé ATTIA le 4 Juillet 2015 à 01:26
La Cour de cassation a validé, vendredi 3 juillet, l’inscription à l’état civil d’enfants nés à l’étranger par gestation pour autrui (GPA).
Cette décision était très attendue par les parents de ces enfants, tout comme par les opposants à la GPA, interdite en France. Elle a été prise un an après la condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour n’avoir pas transcrit à l’état civil français les actes de naissance d’enfants nés légalement à l’étranger de mères porteuses.
Lire le décryptage : GPA, PMA : quel sera l’impact de la décision de la CEDH sur le droit français ?
Des cas datant de 2014
La Cour se prononçait sur les cas de deux enfants nés par GPA en Russie de pères français. La cour d’appel de Rennes avait refusé l’inscription dans le premier cas, le 15 avril 2014, mais l’avait accepté dans le second, le 16 décembre 2014.
« Les actes de naissance dont la transcription est demandée mentionnent comme père celui qui a effectué une reconnaissance de paternité et comme mère la femme ayant accouché », écrit dans un communiqué la Cour de cassation.
Pour la juridiction, qui a constaté que « l’acte de naissance n’était ni irrégulier ni falsifié et que les faits qui y étaient déclarés correspondaient à la réalité », « les règles de transcription sur les actes de l'état civil français (...) doivent s'appliquer ». Le fait que la GPA soit interdite en France « ne peut donc faire échec » à cette inscription.
« Le recours à la GPA demeure un interdit absolu en France »
Le 19 juin, le procureur général Jean-Claude Marin avait recommandé cette retranscription de l’identité de ces enfants à l’état civil, à la condition qu’un test génétique établisse un lien de filiation avec le père, ce que n'a pas retenu la Cour de cassation.
Jusqu’à la décision de la CEDH, la Cour de cassation avait toujours rejeté les pourvois sur le sujet. Elle jugeait que, la GPA étant interdite en France, la transcription à l’état civil français de l’acte de naissance de l’enfant « était l’aboutissement d’un processus frauduleux qui ne pouvait produire aucun effet ».
Le premier ministre Manuel Valls a « pris acte » de cette décision tout en rappelant que la GPA restait prohibée dans le pays.
« Le recours à la GPA demeure un interdit absolu en France. Cet interdit n'est remis en cause ni par les arrêts de la Cour de cassation, ni par les arrêts de la CEDH ».
(http://www.lemonde.fr)
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Par Salomé ATTIA le 4 Juillet 2015 à 00:55
Vendredi prochain, le 10 juillet, aura lieu la Journée mondiale des femmes sans voile. Toutes celles de culture musulmane, et autres, qui le refusent manifesteront aussi à Paris, place de la République.
Article paru dans Marianne daté du 26 juin
Elles en ont marre. « Marre de l'indifférence, de la connivence, de la condescendance » avec lesquelles, en France, les « néocommunautaristes » traitent le combat des femmes de culture musulmane « qui se sont affranchies du voile au nom de la liberté, de l'égalité et de la dignité ». Près de chez elles, à Aubervilliers, les hommes osaient demander à l'une « de se couvrir pour être une bonne musulmane » : c'était l'été et elle sortait bras nus. Une lycéenne, sous influence salafiste, crachait à l'autre, son enseignante qui lui expliquait que le voile ne figurait nullement dans le Coran : « Je peux vous tuer pour ce que vous dites ! » De la rue au café où elles n'étaient pas les bienvenues, les menaces s'empilaient pour les belles aux yeux noirs. On les sommait à toute vitesse de rejoindre le troupeau massé sous le voile de la servitude volontaire. « Et nous n'étions ni à Alger ni à Kaboul ! Ça se passait à quelques stations de métro du centre de Paris... »
Alors Nadia et les autres ont décidé de fonder le collectif Femmes sans voile d'Aubervilliers. Elles ont rallié le mouvement mondial des femmes de culture musulmane qui refusent, au péril de leur vie dans le monde islamique, ce voile « qui affirme la domination et le contrôle de la femme par l'homme ». Marianne a publié une de leurs tribunes l'hiver dernier. Elles étaient sur les marchés le 8 mars, distribuant vaillamment leurs tracts. Nous les avons retrouvées préparant la prochaine manifestation : celle de la deuxième journée des femmes sans voile, à laquelle appelle toute une ribambelle d'associations (voir la liste ci-dessous). La première s'était déroulée en 2014, près de la fontaine aux Innocents. Dans Charlie, une BD de Luz avait illustré cette prise de parole, sereine côté manifestantes, houleuse du côté des passants — et passantes — provoile, fermés à tout débat et drapés, au mieux, dans la sempiternelle apostrophe : « Islamophobes ! »
Un linceul
Le 10 juillet est une date choisie par les Canadiennes : la date de naissance à Montréal de Thérèse Forget-Casgrain. Elle consacra sa vie à la cause des femmes. « Et nous aussi, c'est tous les jours, dit tranquillement Nadia Ould-Kaci. Je suis une 100 % Beurette du 93, née à Saint-Denis, grandie à La Courneuve. J'habite Aubervilliers depuis quarante ans. Ma mère est arrivée de Kabylie, analphabète et non voilée. Elle en a 92 aujourd'hui et me demande toujours : "Mais quel avenir elles se préparent, toutes ces filles qui se voilent ?" Mon père, le dimanche, lisait l'Humanité en buvant un verre de rouge. J'ai gardé sa carte de la CGT. J'ai gardé le mot "communisme" aussi. Pour l'idéal, pas pour ce qu'en ont fait les hommes. Depuis trois ans, le voile s'est répandu dans des proportions inquiétantes. Il tend à devenir la norme : dans notre ville, on le met même aux petites filles. Les Maghrébines qui ne le portent pas entendent des insultes du genre : "Tu fais honte à Dieu !" »
La honte, la vraie, contre laquelle elle se bat avec toutes les femmes du collectif, c'est ce linceul dont on commence à recouvrir les fillettes. Les photos sont éloquentes. « Nous demandons aux députés, aux sénateurs et aux sénatrices l'interdiction du voile pour les mineures. Au moins ça ! » martèle Nadia Benmissi, autre cheville ouvrière du mouvement. Les réponses sont décourageantes. « On est coincées ! » hasarde une élue. Par qui, par quoi ? Les « d'origine », elles, n'ont pas froid aux yeux. « Tant de femmes nous disent qu'on a raison mais qu'elles ont peur... » Dans sa « Convention citoyenne des musulmans pour le vivre-ensemble » de juin 2014, le Conseil français du culte musulman y va fort : il installe carrément la règle du voile pour les Françaises musulmanes alors que la « prescription coranique » ne mentionne nulle part l'obligation de se couvrir les cheveux. « Votre prise de position représente une régression qui banalise les répressions que subissent les femmes non voilées, s'insurge le collectif dans sa lettre au CFCM. Nous nous inquiétons de votre affirmation qui sacralise le port du voile et par là même cautionne l'action des fondamentalistes, source, dans notre pays, de troubles à l'ordre public. Votre crispation est un anachronisme dangereux pour nous tous. » Les pieux rédacteurs de la « convention » n'ont jamais daigné répondre. Leur rappeler que la première action des djihadistes, en Irak, en Syrie, au Mali, au Nigeria, quand ils s'emparent d'une ville, consiste à voiler intégralement les femmes pour leur interdire ensuite la totalité de la vie, fait tellement désordre...
Non au patriarcat
A cette pléiade de brunettes révoltées, Josiane Doan, une blonde ronde à l'accent qui chante, apporte sa solidarité de Provençale. « Parce que dire non au voile, c'est dire non au patriarcat. Et ça, j'ai connu ! » Dans les champs de lavande, entre Ollioules et Toulon, au début des années 60, « en milieu paysan, une femme, c'était comme un meuble. On fermait la porte de la cour pour empêcher la fille de sortir et mon père mesurait les ourlets des jupes. Je me suis battue grâce à l'école et je suis devenue inspectrice des impôts ». Alors quand, en 2012, Josiane croise, dans une rue d'Aubervilliers, une toute jeune fille que son frère tabasse « parce qu'elle avait osé sortir », elle se retrouve un demi-siècle en arrière, au temps de sa séquestration. De colère, elle rejoint le groupe de Place aux femmes qui s'occupe alors d'investir les cafés. Aux camarades « d'origine », elle dit : « Je suis des vôtres », tant l'origine d'une femme se ressemble dans tous les mondes. Très vite, la réaction au voile s'impose comme une urgence. La rue commence à vivre sous cape. Un petit foulard qui devient « l'intégrale ». « Une enfant de 5 ans qui refuse d'entrer chez ses voisins parce qu'ils mangent du porc et boivent de l'alcool, elle les traitait déjà de "mécréants"... » Bref, cette métamorphose qu'on nous dit si tranquille et qui, entre les enfants d'un même pays, les filles d'une même patrie, dessine les contours inquiétants d'un destin divergent.
Pour dire non, c'est place de la République, le 10 juillet. A 18 heures !!!
Les associations signataires de l'appel du 10 juillet
Association des femmes euro-méditerranéennes contre les intégrismes (Afemci), Africa 93, Amel, Conseil européen des fédérations Wizo (CEFW), Cibel, Conseil national des associations familiales laïques (Cnafal), Du côté des femmes (DCDF), Egale, Encore féministes, Femmes contre les intégristes, Femmes solidaires, Femmes 3000, Coordination française pour le lobby européen des femmes (La Clef), La Ligue du droit international des femmes, Libres MarianneS, Marguerites sans frontières, Ni putes, ni soumises, Regards de femmes, Union des familles laïques (Ufal).
Contact : femmesansvoile@gmail.com(http://www.marianne.net)
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Par Salomé ATTIA le 2 Juillet 2015 à 13:38
Une petite tête blonde, drapeau arc-en-ciel en l’air, vient se mettre en face d’ opposants au mariage gay, en pleine tirade. Elle les fixe sans dire un mot, les passants viennent lui taper dans la main en signe de soutien.
La scène se déroule lors d’un festival de musique en Ohio. La fillette brandit un drapeau arc-en-ciel face à des opposants au mariage gay. Face à elle, les opposants au mariage gay, eux, brandissent un drapeau “Jesus saves from hell” et scandent : “Si tu cherches quelqu’un qui t’aime qui veillera sur toi, Jésus est là. Tu ne peux pas compter sur ce monde.”
L’évènement n’avait aucune visée militante mais de nombreux passants, et internautes, ont félicité l’attitude courageuse de cette petite fille.
(les in Rocks)
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Par Salomé ATTIA le 1 Juillet 2015 à 14:26
Selon le nouveau code pénal entré en vigueur lundi 29 juin, l'homosexualité n'est plus un délit au Mozambique. Promulgué en décembre dernier, le document met également fin aux sanctions contre l'avortement, considéré jusqu'ici comme un crime. Une évolution symbolique dans une région où ces deux sujets sont encore tabous.
L'urgence d'une reconnaissance sociale des homosexuels
Le texte désormais en vigueur veille à écarter tout risque de persécution légale qui prendrait appui sur l'homoseuxalité de la personne visée. "Une victoire symbolique", s'est réjoui auprès de l'Agence France-Presse Frank, un étudiant en communication de 22 ans, qui milite pour l'association Lambda, qui défend les droits des personnes LGBT. Le jeune homme minimise toutefois la portée de ce changement : "Cela ne va pas fondamentalement changer grand-chose pour nous", a-t-il complété en rappelant que l'intolérance envers les couples de même sexe est moins marquée au Mozambique que dans d'autres pays voisins d'Afrique australe.
Plus qu'une protection légale, c'est une reconnaissance sociale dont le jeune homme réclame la mise en oeuvre. "L'inclusion sociale reste le principal défi", estime Frank dont l'association, unique en son genre dans le pays pour défendre les droits LGBT, n'a jamais été reconnue par l'Etat malgré des demandes en ce sens depuis 2008.
Pas de célébration officielle
Le pays est-il pour autant hostile à l'homosexualité ? Les actes de violences contre les homosexuels sont très rares voire inexistants au Mozambique. "La plupart des Mozambicains ne nie pas l'homosexualité, mais on ne peut pas dire non plus qu'elle soit acceptée", résume le blogueur et activiste influent Dércio Tsandzana, qui voit dans ce nouveau code pénal une affaire d'opportunisme politique : "On ne peut pas vraiment parler de volonté politique propre, le gouvernement réagit plutôt à la pression externe de certaines ambassades et des bailleurs de fonds ", complète le blogueur.
Et pour preuve, la dépénalisation de l'homosexualité, qui pourrait être perçue comme une avancée majeure si elle survenait dans plusieurs pays voisins, n'a ici pas la même saveur pour la population. Ce lundi, aucun évènement officiel n'a été prévu pour célébrer l'évènement, qui restera accueilli dans l'indifférence générale.
Le Mozambique, quatrième pays africain à dépénaliser l'avortement
Le nouveau code pénal met pourtant en oeuvre une autre avancée majeure pour le pays : la dépénalisation de l'avortement. En 2014, de nombreuses organisations de défense des droits se sont mobilisées pour obtenir la levée de cette interdiction. Ce changement de la loi est une étape essentielle vers la possibilité pour les Mozambicaines de mettre fin volontairement à des grossesses non désirées. Le nouveau code pénal fait ainsi du Mozambique le quatrième pays d'Afrique à dépénaliser l'avortement avec l'Afrique du Sud, la Tunisie et le Cap-Vert.
Grâce à ce nouveau texte, les femmes auront le droit d'avorter dans les douze premières semaines de grossesse, ou seize en cas de viol ou d'inceste, avec le consentement écrit de la mère et de deux médecins. Le nouveau Code pénal prévoit également que les interruptions volontaires de grossesses devront être assurées par des médecins habilités, dans des établissements de santés officiellement reconnus.
"Ce que l'on souhaite, c'est que les femmes soient informées de ce droit. Maintenant il revient à l'Etat de fournir les services et les conditions logistiques nécessaires", avait réagi Ligia Anjos de l'ONG Forum Femmes en décembre dernier sur RFI. "Pourvu que le Mozambique serve d'exemple à bien d'autres pays", a-t-elle complété. Une grande majorité de pays d'Afrique n'autorise aujourd'hui l'avortement qu'à des conditions très restrictives. L'homosexualité reste elle illégale dans 38 pays sur 54.
(Terrafemina, Sérieusement féminin.)
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Par Salomé ATTIA le 1 Juillet 2015 à 09:53
À l'attention : du Parquet de Paris
Bonjour à tous,
Je sollicite votre aide afin de m'aider à obtenir la relaxe. J'ai en effet été condamné à 2 mois de prison avec sursis et je risque plusieurs dizaines de milliers d'euros de dommages et intérêts. J'espère pouvoir faire bouger les choses avec votre soutien. J'adresse mes pensées et mon affection aux personnes qui se sont trouvées dans ma situation et qui n'ont pas pu bénéficier d'exposition médiatique pour contrer l'injustice, aux victimes d'agressions sexuelles et à vous tous qui m'avez témoigné votre soutien. J'espère que la force du nombre fera bouger les lignes et le verdict en appel.
Le Parisien : "Il était poursuivi pour s'être battu dans le but de mettre fin à une agression sexuelle. Le tribunal correctionnel de Paris a rendu son jugement hier dans le dossier qui opposait Arnaud Gonnet, un client de boîte de nuit, à l'agresseur qui s'en était pris à l'une de ses collègues lors d'une soirée en mars 2013. L'agresseur a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour des attouchements commis alors que la victime était endormie. Témoin de la scène, Arnaud s'était interposé sans violence avant de prendre un coup puis d'en asséner deux à son tour. Une réponse jugée disproportionnée par le tribunal qui l'a condamné à deux mois de prison avec sursis. « Le message des magistrats est donc de dire qu'il valait mieux laisser faire l'agression. A une époque où l'on reproche aux passants de ne pas intervenir lorsqu'ils sont témoins de scènes de violence, c'est un jugement incompréhensible mais surtout dangereux », s'indigne M e Vincent de la Morandière, l'avocat d'Arnaud, qui annonce vouloir faire appel."
Merci à ma famille, à mes employeurs, à la victime, à mes proches et à vous tous de me donner la force de me battre pour rétablir la justice dans cette affaire.
Amitiés
Arnaud GONNET(MesOpinions.com)
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Par Salomé ATTIA le 30 Juin 2015 à 23:28
La Cour suprême américaine a légalisé vendredi le mariage homosexuel dans tout le pays. Une décision historique.
Deux ans après avoir décrété que le mariage n'était pas réservé aux couples hétérosexuels, la Cour suprême américaine a légalisé le mariage homosexuel partout aux Etats-Unis, jugeant que les 14 Etats américains qui refusent aujourd'hui d'unir deux personnes de même sexe, devront dorénavant célébrer ces unions. Les Etats devront également reconnaître les mariages de personnes de même sexe lorsqu'ils ont été célébré dans d'autres Etats.
C'est au nom de l'égalité de tous devant la loi que "le 14e Amendement requiert d'un Etat qu'il célèbre un mariage entre deux personnes de même sexe", a écrit le juge Anthony Kennedy, au nom de la majorité de la haute Cour, en précisant que "le droit au mariage est fondamental".
(i TELE)
La Cour suprême des Etats-Unis a légalisé vendredi le mariage homosexuel dans tout le pays.
C'est une décision historique : la Cour suprême américaine a légalisé vendredi le mariage homosexuel partout aux Etats-Unis. Deux ans seulement après avoir décrété que le mariage n’était pas réservé aux couples hétérosexuels, la haute Cour a jugé, par cinq voix contre quatre, que les 14 Etats américains qui refusent aujourd’hui d’unir deux personnes de même sexe devaient non seulement les marier mais en plus reconnaître leur mariage lorsqu’il a été célébré ailleurs.
La majorité de la haute Cour a en outre réaffirmé que les couples homosexuels avaient les mêmes droits que les couples hétérosexuels de «satisfaire une association intime» et estimé que les Etats qui interdisent le mariage homosexuel «font du tort et humilient les enfants des couples de même sexe».
Au nom de l’égalité de tous devant la loi, «le 14e Amendement requiert d’un Etat qu’il célèbre un mariage entre deux personnes de même sexe», a écrit le juge Anthony Kennedy avant de conclure la décision de la Cour suprême américaine :
«Aucune union n’est plus profonde que le mariage, car il incarne les plus grands idéaux d’amour, de fidélité, de dévotion, de sacrifice, et de la famille. En se mariant, deux personnes deviennent plus que ce qu’elles furent auparavant. Comme certains défenseurs de ce droit l’ont démontré, dans le mariage s’incarne un amour qui peut survivre à la mort. Dire d’eux qu’ils ne respectent pas le mariage, c’est ne pas comprendre ces hommes et ces femmes. Ce qu’ils affirment, c’est qu’ils le respectent, qu’ils le respectent si profondément qu’ils désirent le faire advenir pour eux-mêmes. Leur espoir n’est pas d’être condamnés à vivre dans la solitude, exclus d’une des plus anciennes institutions de notre civilisation. Ils réclament une dignité égale aux yeux de la loi. La Constitution leur donne ce droit. [...] Ainsi en est-il décidé.»
Le juge conservateur a ajouté son vote à celui des quatre juges progressistes pour permettre aux gays et lesbiennes de se marier aux quatre coins des Etats-Unis.
Le président de la haute Cour, John Roberts, s’y est opposé, ainsi que les trois autres juges conservateurs. Ils estiment que «cette Cour n’est pas une législature». «Que le mariage homosexuel soit une bonne idée ne devrait pas nous concerner» mais est du ressort de la loi, a écrit le juge Roberts. «Aucune Cour ne peut renverser la loi naturelle», a aussitôt fustigé l’organisation Family Research Council (FRC), qui voit là «un abus de pouvoir» et prévoit de «gros dégâts pour l’héritage» que laissera cette décision.
«Cinq juges suprêmes renversent le vote de 50 millions d’Américains et exigent que l’Amérique s’écarte de millénaires d’histoire et de la réalité de la nature humaine», ajoute Tony Perkins, président de l’organisation.
En revanche, la candidate démocrate Hillary Clinton à la succession de Barack Obama s’est dite «fière de célèbrer cette victoire historique pour l’égalité du mariage», dans un tweet qui salue aussi «le courage et la détermination» du combat des gays.
(Libération Monde)
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Par Salomé ATTIA le 26 Juin 2015 à 22:09
Pour ceux et celles qui ne savent pas qu'est-ce que le parti communiste français, comment il fonctionne, quelles sont ses idées, sur quelles valeurs il se base, ... Voici un exposé que j'ai dû faire pour le cours d'E.J.S.C. J'espère que cela pourra aider quelqu'uns et en informer d'autres !
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