• Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Et oui !!!

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • La tribu des Mursis vit dans le sud ouest de l’Ethiopie, près de la ville de Jinka. Quand elles deviennent femmes, les mursis se font percer la lèvre inférieure et y mettent un plateau de plus en plus grand. Pour qu’il tienne, elles doivent se faire enlever les deux dents inférieures de devant... Certains anthropologues prétendent que cette mutilation labiale avait pour but de rendre inesthétiques les femmes afin de les protéger des razzias esclavagistes.

    Voilà de quoi sont encore victime les femmes !!! cry

     

    Les femmes de la tribu des Mursis, en Éthiopie (Afrique)

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • " Non, je ne veux pas que l'on fasse du mal à ma petite soeur ! " 

     

    Non, à l'excision !!!

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • La mutilation génitale féminine, qui a touché et touchera encore des millions de petites filles et de jeunes femmes du monde entier, est antérieure à l’Islam et au Christianisme. Ce n’est pas non plus qu’une « culture » africaine. Elle est pratiquée dans de nombreuses sociétés qui ont ce point commun au delà des frontières : contrôler la sexualité des femmes en les mutilant. 

     

     

    « La MGF est pratiquée en Iran, pour réduire le désir des jeunes filles avant le mariage; dans certains cas pour préserver leur chasteté »

    La première étude sur la mutilation génitale féminine en Iran montre que la pratique est effectuée dans au moins quatre grandes provinces tandis que les officiels gardent le silence sur la question, rapporte le quotidien britannique The Guardian vendredi.

    Selon les recherches de l’anthropologue social Kameel Ahmady publiées jeudi, la mutilation génitale féminine est plus répandue dans la province méridionale de Hormozgan et ses îles voisines (Qeshm et Hormuz) que dans les autres parties du pays.

    « La MGF est pratiquée en Iran, pour réduire le désir des jeunes filles avant le mariage; dans certains cas pour préserver leur chasteté « , a déclaré Ahmady. « L’attitude des officiels et des autorités consiste à nier l’existance de la MGF en Iran. La population iranienne est également majoritairement ignorante à ce sujet ».

    Sur une période de 10 ans, Ahmady a rencontré près de 3000 iraniennes qui ont subi des mutilations génitales, ainsi que 1.000 hommes. Sa recherche a été publiée le 4 juin, une date qui correspond à la Journée internationale des enfants innocents, victimes d’agression.

    « Je suis retourné en Iran en 2005 pour enquêter sur les MGF et j’ai été choqué de découvrir que c’est arrivé à des membres de ma propre famille » a t-il déclaré.

    La mutilation génitale féminine, qui a touché des millions de petites filles et de jeunes femmes vivant dans le monde entier, est antérieure à l’Islam et au Christianisme. Elle a été pratiquée dans de nombreuses cultures et sociétés: les coptes et les chrétiens en Érythrée et en Éthiopie, les Beta Israël, les tribus aborigènes australiens et dans certaines sociétés du Moyen-Orient et d’Asie.

    La MGF est généralement pratiquée sur les filles âgées de 4 à 12 ans et peut inclure l’ablation totale ou partielle des parties externes de l’appareil génital.

    En Iran, la pratique, dénommée Khatne ou Sonat, est habituellement effectuée en dehors de l’hôpital, sans anesthésie, par des sages-femmes amateurs, au moyen de rasoirs tranchants.

    « Dans les régions où l’on pratique des MGF, malheureusement, ce sont souvent les mères qui insistent pour que leurs filles se fassent « opérer »‘ a déclaré Mehrangiz Kar, un avocat iranien des droits de l’homme.

    « Quand les gens en Iran ont appris pour la première fois, il y a sept ou huit ans, que les femmes se faisaient mutiler, ce fut un choc culturel », a affirmé Rayehe Mozafarian, une écrivaine qui a publié un livre sur la question.

    Elle avoue avoir contacté le vice-président iranien en charge des affaires féminines, Shahindokht Molaverdi, qui a entendu sa proposition de campagne nationale visant à mettre fin aux MGF.

    « La majorité des femmes mutilées à qui j’ai parlé, défendaient les MGF, en disant que c’est une tradition qui existe depuis de nombreuses années », a déclaré Ahmady. « Certaines mamans sunnites se vantaient même que leurs filles soient plus vertueuses que la majorité des filles chiites parce qu’elles avaient été mutilées. »a t-il ajouté.

     

    Source: i24news.tv, 5 Juin 2015

     

     

    Les mutilations génitales féminines en Iran

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Mesdames, Messieurs, indignez-vous ! Indignez-vous du drame de l’excision ! Aujourd’hui, plus de 80 millions de femmes ont été soumises dans le monde à des mutilations barbares similaires, dont l’excision ! Parlons-en !

     

     Si je m’exprime, c’est parce que je me suis rendue compte, à mon plus grand regret, que beaucoup trop d’individus ignorent encore la pratique de l’excision. Dans la mesure où ces personnes me demandent de quoi il s’agit, je me questionne : Comment est-ce possible ? Comment ce fait-il qu’elles ne connaissent pas cette pratique ? N’en n’ont-elles donc réellement jamais entendu parler ? Vraiment ? Alors, oui... Cela me sidère car ce n’est évidemment pas normal ! Les gens doivent connaître cette pratique scandaleuse. Vous devez la connaître car énormément de femmes en souffrent dans le monde !

     

    En vu de cette ignorance, et surtout française, je me suis engagée, en tant que femme aussi, à parler de l’excision et à combattre pour l’élimination de cette pratique révoltante ! Et je vous demande de me rejoindre ; de lutter avec moi pour que disparaisse (ENFIN !) ce rite ridicule car c’est notre combat à tous et à toutes même si nous ne sommes pas directement concernés !

     

     

     

    L’excision est la pratique la plus courante en Afrique, notamment dans vingt-huit pays africains. Elle consiste en l’incision du clitoris, et parfois son ablation d’une petite ou de la totalité des petites et des grandes lèvres. Vous rendez-vous compte de ce que l’on fait encore subir aux femmes ? Ne sommes-nous donc pas au XXI ème siècle ?! Ne sommes-nous pas CENSÉ avoir évolué dans nos idées ? Alors, pourquoi des hommes, encore à notre époque, continuent-ils de pratiquer des coutumes datant des siècles et des siècles? N’ont-ils donc aucune logique ? Ne se remettent-ils jamais en question ?!

     Comme je vous l’ai dit précédemment, cette pratique existe depuis des siècles ! Mais encore une fois, la plus grande partie du monde en ignore l’existence. Bien évidemment, cela m’attriste énormément.

    On ne connaît pas les origines de cette pratique monstrueuse. Si on la trouve souvent dans les pays islamiques, l’opération n’est pas prescrite dans le Coran ! Cessez les balivernes ! En l’an 742, on rapporte que le prophète Mohamet a proposé une réforme des mutilations génitales. Son appel «Effleurez et n’épuisez point» a été compris comme une injonction à ne pratiquer que l’excision Sunna, qui est aujourd’hui la norme en Egypte. Il est clair que les mutilations génitales remontent à l’Antiquité ! C’est malheureux à dire. L’historien grec Hérodote rapporte qu’au V ème siècle avant Jésus-Christ, l’excision féminine était pratiquée par les Egyptiens, les Phéniciens, les Hittites et les Ethiopiens. Vous aurez remarqué que seulement quatre pays exerçaient l’excision tandis qu’aujourd’hui il y en a vingt-huit ! C’est décevant !

     

    Effectivement, au cours des siècles, cette pratique est devenue une coutume BIEN ENCRÉE, que l’on ne remet pas en cause. Et c’est justement cela l’erreur : il faut réagir ! Il faut se poser des questions ! Il existe deux types d’excision que je connais. C’est ce que les Soudanais appellent l’infibulation l’«excision pharaonique». Mais en Egypte, on l’appelle l’«excision soudanaise». Cela montre l’incertitude quand aux origines de cette pratique ! 

     

     

    Il existerait des explications diverses et contradictoires de la tradition pour la pratique de l’excision. Dans l’ensemble, les motifs invoqués sont le reflet des mythologies prédominantes, de l’ignorance des faits biologiques et médicaux, et également de l’obscurantisme religieux. Vous rendez-vous compte de la BÊTISE que cela représente ?! Ecoutez, et riez de ce que je vais vous dire : Presque toutes les références lient la coutume à la crainte de la famille que leur fille sera «impossible à marier». En clair, la condition de la femme, surtout en Afrique (mais pas seulement, d’ailleurs), se résume à n’être qu’une épouse. Et une «bonne épouse», est une épouse qui s’occupe des tâches ménagères de la maison, de la cuisine, de faire des enfants et de s’en occuper, et bien évidemment, d’être aux petits soins de son époux ! Quelle injustice ! Et je veux vous l’entendre dire ! Savez-vous ce qu’est une femme non excisée ? Connaissez-vous leur réputation ? Les filles non mutilées sont traitées comme des pestiférées car elles sont considérées comme «impures» ou elles sont vues comme étant des prostituées. Est-ce normal ? Non, et en aucun cas ! De ce fait, elles ne peuvent pas hériter d’argent, de bétail ou de terres et elles ne peuvent donc pas être considérées comme étant des épouses adéquates. Entendez ces mots, et révoltez-vous ! Criez «NON !» à l’excision !

     

     

    Différents groupes religieux et sociaux considèrent que les mutilations sont le seul moyen de protéger les femmes de leurs passions et appétits sexuels débridés. Comment osent-ils dire cela, et surtout de quel droit ?! Sérieusement, que ne faut-il pas entendre ! L’un des arguments utilisés pour justifier l’excision des femmes est qu’aucun homme ne peut satisfaire toutes ses épouses et qu’il est donc pratique d’avoir des femmes qui n’ont pas de besoins sexuels. Non seulement les hommes africains sont polygames, mais en plus de cela, ils ont l’audace et la prétention de dire qu’ils ont BESOIN de ces femmes MUTILÉES car il est difficile de toutes les satisfaire sexuellement. Messieurs, la femme n’est pas un objet ! En outre, l’excision repose sur aucun fondement valable. Toutes ces femmes excisées, savez-vous ce qu’elles endurent ?

     

     

    Peut-être que si je vous expliquais comment les femmes et les jeunes filles sont excisées, vous vous indignerez davantage comme je le fais ?! Sachez que ce sont principalement les mères qui amènent leurs filles se faire exciser dès leur plus jeune âge car les hommes leur disent, bien entendu, que cela fait partie de la coutume. Or, c’est totalement faux ! C’est justement une invention de l’homme pour rendre les femmes dociles et soumises à leurs désirs ! Le jour où la fillette ou la jeune fille est conduite, par sa mère, se faire exciser, elle n’est au courant de rien. Par exemple, Coumba, une jeune femme de trente-trois ans, a témoigné de l’atrocité et de la violence de l’excision. Elle dit que, effectivement, c’est sa mère qui l’a conduite à son village d’origine, en prétextant des vacances. C’est terrible : les mères sont obligées de mentir à leurs enfants ! Mais lorsque Coumba et sa mère sont arrivées au village, sa mère, l’a amenée chez une vieille dame qui lui était totalement inconnue. Il s’agissait en fait de «l’experte en ablation de clitoris». L’ambiance lui semblait étrange. Elle avait l’impression qu’on voulait éviter à lui apprendre une mauvaise nouvelle. Déjà, à partir de ce moment-là, imaginez l’angoisse de cette fillette ! Ensuite, deux autres femmes lui tenaient chacune une jambe. L’exciseuse s’est alors saisie du couteau qui lui servait toujours pour cet effet et a sectionné brutalement le clitoris. C’est terrible, atroce, IGNOBLE !!! La violence du geste est tellement extrême que le sang gicle et ne cesse plus de couler ! Lorsque le sang ne cesse de couler, plusieurs femmes mâchent de la Kola et l’appliquent sur la plaie ouverte pendant quelques heures si il le faut. Coumba raconte que quatre ans après s’être faite excisée, elle avait été donné en mariage à un émigré vivant en France. Elle aurait préféré ne jamais voir son mari car elle explique que la douleur du premier rapport était la même que le jour où on lui a arraché son clitoris ! En effet, l’entrée de l’appareil génital avait été obstrué au maximum pour, dit-on, empêcher la pénétration. Il est vrai que beaucoup de femmes comme Coumba souffrent à cause de l’excision. Elles n’éprouvent aucun plaisir mais de la douleur lors du rapport sexuel certes, mais elles ont une autre souffrance qui est le mariage forcé ! Oui, encore une injustice ! Coumba jure ne jamais faire subir cette torture à ses filles. 

     

    Elle est désormais en guerre contre cette pratique infâme. Elle a raison car les conséquences médicales sont désastreuses, parfois même mortelles ! Mais celles qui y survivent ressentent constamment des douleurs. Tout le temps dans leur quotidien ! Le plus révoltant, c’est qu’on leur présente cette douleur comme un passage OBLIGÉ pour devenir une fille «entière» et pure. C’est répugnant et totalement stupide !

    La tradition perçoit l’excision comme étant un bon acte mais c’est absolument le contraire ! puisque dans les faits, cette barbarie met en péril l’existence des femmes et des jeunes filles qui la subissent, et les prive à jamais d’avoir des plaisirs sexuels ! Ce qui brise incontestablement leur vie de femme ! Car ce rite qui se justifie fréquemment comme garantissant la fertilité, peut conduire à la stérilité ! Une femme ne mérite pas d’être rabaissée de la sorte ! Personne d’ailleurs... Aussi, j’aimerais ajouter que le manque d’expérience ou la mauvaise vue du praticien peuvent conduire à la perforation de l’urètre de la vessie, du sphincter et des parois du vagin. Des cicatrices chéloïdes peuvent rendre la démarche difficile et le développement de kystes dermoïdes n’est pas rare ! En plus d’être privées des organes du plaisir, les jeunes femmes sont soumises à d’abominables douleurs pendant qu’elles urinent, pendant leurs règles et les rapports sexuels ! Et comme si ce n’était pas suffisant, elles souffrent également de complications médicales multiples pendant toute leur vie d’adulte !

     

     

    J’ai dit que beaucoup trop de personnes ignorent la pratique de l’excision. Mais il y en a aussi qui, tout au contraire, luttent contre cela. Effectivement, les parlementaires africains ont réaffirmé le dimanche 4 décembre 2005, à Dakar, leur engagement à participer au combat contre l’excision en votant des lois et en veillant à l’application de celles-ci ! Cette annonce a été faite à l’ouverture de la conférence régionale sur le thème «les violences contre les femmes, abandons des mutilations sexuelles féminines : le rôle des Parlements nationaux». Le Président de l’Assemblée nationale sénégalaise, Pape Diop, a estimé qu‘ «au vu de la persistance des mutilations génitales féminines, l’action parlementaire apparaît incontournable». Il a raison : c’est l’éducation qui permettra l’éradication de l’excision !   

     

    Mais le Président Pape Diop sait très bien aussi que ces pratiques constituent un véritable problème de santé publique et un défi aux décideurs ! Pour lui, toute solution durable, face à ce défi, passe par l’instauration d’un environnement socio-économique et éducatif favorable à l’émancipation des femmes. Je trouve cela bien car des efforts sont faits : il y a des idées nouvelles sur la façon d’éliminer cette ignoble pratique. C’est une forme de progrès ! A propos des actions de sensibilisation, le sénateur algérien, Kerzabi Khaled, a même suggéré une approche didactique montrant les conséquences des mutilations génitales ainsi que sa «désacralisation». Il ajoute également que cette approche nécessite l’implication du corps médical et des autorités religieuses.

     

     

    Pratique culturelle controversée, l’excision rencontre de nombreux détracteurs qui considèrent l’implication de la médecine comme une atteinte à l’intégrité physique et à l’intimité des femmes. Un combat mondial s’est donc engagé sur la question pour mettre fin à cette tradition scandaleuse ! Selon l’UNICEF, seulement treize pays africains disposent de lois réprimant les mutilations sexuelles féminines et autres types de violences faites aux femmes. Les tentatives d’éradiquer les mutilations génitales féminines en Afrique sont anciennes. Elles remontent au moins au XVI ème siècle quand les missionnaires sont arrivés pour la première fois sur le continent africain. Plus tard, les gouvernements coloniaux britanniques et certains Etats africains ont adopté des lois contre ces pratiques. C’était déjà un bon début ! Au cours de la dernière décennie, ces efforts se sont intensifiés en particulier après que les Nations Unies eurent proclamé leur soutien aux nombreuses organismes  non gouvernementales qui combattent les mutilations rituelles dans les différents pays d’Afrique. Actuellement, vingt pays sur les vingt-huit, où la pratique de l’excision existe, l’ont interdite. C’est pourquoi des programmes éducatifs, comme l’enseignement des jeunes filles sur l’excision dans des écoles de certains pays africains, mais particulièrement dans le domaine médical, ont été mis en place dans certaines régions du continent africain.

    Dans le monde, des millions de mères de famille évoluent dans le silence pesant du traumatisme qu’est l’excision ! Bien que la pratique de l’excision est seulement un peu moins courante aujourd’hui dans les villes, il y a encore énormément de femmes concernées ! La vérité est que les sociétés africaines où cette pratique est courante, la plupart des hommes sont trop pauvres pour s’offrir plus d’une femme. Cependant, la réalité sociale de la domination masculine dans les sphères de l’existence quotidienne constitue la toile de fond des mutilations rituelles des femmes !

    Selon l’Article 5 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, «Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants». En effet, l’excision est un crime puisqu’elle tue énormément de fillettes et de femmes ! Aucune mutilation génitale n’est à prendre à la légère ! Intervenir sur le corps d’un enfant ou d’un adulte, en l’absence de pathologie, c’est porter atteinte à son intégrité physique ! Il est absolument INACCEPTABLE de faire courir bien des risques au nom de croyances non fondées ! L’excision est un acte délictuel passible de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende ! Selon l’Article 222-9 et 222-10 du Code Pénale, lorsque la victime est mineure de moins de quinze ans, cela devient un crime puni de quinze ans de réclusion criminelle pouvant aller jusqu’à vingt ans si le coupable est un ascendant légitime.

     

     

    Je suis contente que l’on se soit rendu compte de l’atrocité de ce crime. C’est un début ! Serait-ce le début du progrès ? Mais comme le dit si bien Albert Einstein, «Le mot progrès n’aura aucun sens tant qu’il y aura des enfants malheureux». Il a totalement raison car la pratique de l’excision existe toujours : il y a donc encore d’autres enfants qui en souffrent étant donné que, quelles que soient les raisons invoquées pour mutiler des millions de jeunes filles, quelles que soient les origines de ces pratiques il y a des siècles de cela, les mutilations des organes génitaux féminins sont aujourd’hui un symbole terrible de l’oppression sexuelle, sociale et économique multiforme des femmes ! C’est pourquoi je vous incite vivement à combattre, avec moi, CONTRE l’excision !   

     

     

    INDIGNEZ-VOUS !!!

     

    Rédigé par Salomé ATTIA (Têtupide) 

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Prévenir les risques d'excision avant les vacances scolaires grâce à la fiche réflexe !

     

     

    Chaque été, des milliers de petites filles et d’adolescentes issues des migrations retournent dans les pays d’origine de leurs parents pour les vacances. Elles peuvent y subir une mutilation sexuelle féminine. Celle-ci peut être l’expression d’une volonté des parents, qui en ont fait l’objectif du voyage ou bien être perpétrée malgré leur opposition, en raison de la pression du contexte local, ou bien encore en leur absence.

    Une vigilance particulière doit donc s’exercer avant les départs en vacances. Comment ? Que faire en cas de doute? La fiche réflexe qu’Excision, parlons-en! et ses adhérents ont préparée répond à ces questions pour que tout professionnel en situation d’éviter le pire  puisse agir.

    N’hésitez pas à la partager et à faire partager cette fiche (et informations) sur des sites internet et dans les réseaux sociaux !!! 

    Vous trouverez ci-contre le format PDF de cette fiche en vous connectant sur ce site :

    http://www.excisionparlonsen.org/wp-content/uploads/2015/06/2015-05-13-Fiche-EPE-prevention-vacancescolaires.-FINALE.pdf

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique