• Attention, les filles ! Prenez-garde à ces hommes-là !

     

     

     

     

     

     

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  • Dans l'échelle sociale, ce sont toujours les hommes qui parviennent à monter jusqu'au sommet ! Quelle injustice pour les femmes !

     

     

     

     

     

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  • « On ne change pas un homme violent, il faut partir »

     

     

    La démarche est difficile à entreprendre pour la plupart des femmes victimes de violences conjugales. Honteuses, bloquées par la peur, beaucoup d’entre elles choisissent de garder le silence et de rester. Or il est indispensable de fuir et de parler, rappelle une avocate spécialisée.

     

     

    Sylvia Shirm est avocate spécialisée dans le droit de la famille à Montréal au Canada. Dans un article paru le 11 août dernier dans Le journal de Montréal, elle lance un appel aux femmes victimes de violences conjugales à quitter leur conjoint. « Il faut souvent le répéter, mais il ne faut pas croire qu’on arrivera à changer l’homme avec qui l’on est. Il ne faut pas attendre », explique maître Shirm. Et ce même si la décision est extrêmement difficile à prendre pour ces femmes qui se sentent la plupart du temps menacée par leur conjoint.

     

    " Une émeraude après son premier nez cassé "

     

    Les violences conjugales peuvent se dérouler dans n’importe quelle classe sociale. « Toutes les femmes peuvent, sans le savoir, rencontrer un homme qui va un jour leur casser le nez », prophétise Michèle Perrin, directrice de l’association SOS Violences conjugales à Saint-Étienne. Selon elle, il existe plusieurs stades dans l’escalade de la violence conjugale. Le premier s’apparente à des tensions au sein du couple. « Les insultes commencent, des remarques qui visent à rabaisser la femme sont émises », énumère Michèle Perrin, qui rappelle que les violences au sein d’un couple ne sont pas simplement physiques, elles peuvent tout aussi bien être verbales.

    Vient ensuite le passage à l’acte, quand les coups commencent et vont crescendo. Cette étape est suivie d'une troisième : la minimalisation. « Les conjoints trouvent généralement des excuses aux traces laissées sur le corps de leur compagne », remarque la directrice. Elle donne l’exemple « classique » du mari qui n'hésite pas à rejeter la faute sur sa femme avec des remarques comme : « Mais c’est de ta faute, tu as la peau qui marque ! », « Ça va, ce n’est qu’une égratignure », « Un bleu ça se maquille »...

    Le dernier stade est celui de la rémission. Michèle Perrin met particulièrement en garde les femmes victimes de violences par rapport à ce stade : « C’est quand les femmes commencent à saigner, à avoir des blessures graves, que les hommes ont soudain un sursaut amoureux. Ils sont prêts à tout pour que leur femme oublie les coups qu'ils leur ont infligés. » Elle donne l’exemple d’une de ses proches, battue par son mari, qui a eu droit « à une émeraude après son premier nez cassé et à un voyage en Thaïlande après sa deuxième fracture. »

     

    " Plusieurs scénarios pour fuir "

     

    Mais que faire lorsqu'on choisit de quitter son conjoint violent, alors que cette décision est souvent prise dans la peur et le désarroi ? Michèle Perrin explique que « plusieurs solutions sont envisageables pour celles qui décident de franchir le pas. » S'il s'agit d'un départ en urgence, il est primordial d’avoir en tête le numéro de la veille sociale (115). À l’écoute jour et nuit, le service redirige les femmes victimes de violences vers des foyers temporaires, dans lesquels elles pourront entrer en contact avec des associations. La femme victime de violences conjugales peut aussi programmer son départ. Dans ce cas précis, il s'agit de ne jamais revenir et il est donc primordial d’être méticuleux.

    Les conseils de Sylvia Shirm et Michèle Perrin pour réussir sa fuite :
    - ne pas informer son conjoint d’un départ éventuel ;
    - dans un carnet, décrire les coups reçus et indiquer le jour et l’heure ;
    - mettre en place un réseau de protection autour de soi. Si les enfants sont grands, il faut leur demander de prévenir la police lorsqu’on se fait enfermer dans l'une des pièces de la maison. Sinon demander aux voisins de confiance de prévenir la police lorsqu’ils entendent des cris ou qu’ils voient des choses anormales ;
    - dans sa voiture, avoir toujours une petite valise prête avec quelques vêtements pour soi et pour ses enfants ;
    - avoir au préalable photocopié les avis d’imposition, d’hypothèque, les bulletins scolaires des enfants (au cas où ceux-ci aient à changer d’école), le livret de famille, les papiers de sécurité sociale ;
    - avoir mis de l’argent de côté, que ce soit sur un compte en banque inaccessible et inconnu de son conjoint ou chez un proche de confiance.

    Ces conseils, qui font froid dans le dos, peuvent sauver des vies. Malgré toutes les campagnes de communication et de sensibilisation, une femme meurt sous les coups de son conjoint tous les deux jours et demi en France. 

     

    http://madame.lefigaro.fr

     

     

     

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  • Des femmes chirurgiens lancent un hashtag pour lutter contre le sexisme au travail

     

    Les chirurgiennes de Grey's Anatomy ou Urgences ne sont pas les seules à être jeunes et jolies. Dans la vraie vie pourtant, cela peut les amener à être victimes de sexisme et harcèlement sur leur lieu de travail. Certaines ont donc décidé de lancer sur Twitter le hashtag #ILookLikeASurgeon (je ressemble à un chirurgien) afin de lutter contre les préjugés. 

    Alors que des milliers de femmes ingénieurs avaient lancé le 1er août le mot clé #ILookLikeAnEngineer (je ressemble à un ingénieur) pour combattre les stéréotypes de genre, c'est aujourd'hui aux femmes chirurgiens de leur emboîter le pas.

    Victimes de harcèlement sexuel par leurs collègues pour certaines, prises pour des infirmières par d'autres, les chirurgiennes sont en effet quotidiennement soumises à des situations dérangeantes. 

    Le Docteur Nikki Stamp, spécialisée en chirurgie thoracique et cardio-vasculaire, participe elle aussi au mouvement même si elle avait été préparée au sexisme qui l'attendait dès son entrée dans la profession. "Les deux chirurgiens brillants et intelligents qui m'ont appris le métier (…) m'ont donné des conseils pour lutter contre ce à quoi j'allais être confrontée tel que le harcèlement sexuel, les brimades, ou encore la difficulté d'établir de bonnes relations avec les familles." a-t-elle confié au Huffington Post australien.

     

     

     

    http://www.huffingtonpost.fr

     

     

     

     

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  • "Ils nous violent, on les tue:" une brigade féminine pour lutter contre l'EI

     

     

    Ce bataillon de 123 combattantes a été formé par Xate Shingali, une chanteuse yazidie: "Sun Girls" ("Les Filles du Soleil").

     

     

    Massoud Barzani, le président kurde, a donné son feu vert pour la composition de cette brigade féminine. Elle a été créée par Xate Shingali (30 ans) et elle compte aujourd'hui plus de 123 combattantes exclusivement féminines âgées entre 17 et 30 ans. Son nom: "Sun Girls" ("Les Filles du Soleil").

    Sentiment de revanche
    "Mon père était si heureux, lorsque je lui ai dit que je rejoignais cette unité. Toutes les familles acceptent que nous nous joignons aux Filles du Soleil. Nous sommes heureuses de combattre aux côtés des Peshmergas!", a déclaré une jeune recrue Jane Fares (17 ans) qui a été forcée de fuir les montages de Sinjar pour ne pas tomber dans les griffes de Daesh.

    Mieux que personne, ces combattantes, animées par un sentiment de revanche sans pareil, savent qu'elles risquent d'être assassinées ou traitées comme des esclaves sexuelles par les djihadistes.

    "72 vierges au paradis"
    "Ils tuent, mais pourquoi faire ça à des femmes, pourquoi arracher les mères à leurs enfants? Ils n'ont aucune sorte d'humanité", rapporte Hadia Hassan, une autre combattante, dans le Daily Mail.

    Il se dit que les djihadistes de l'État Islamique sont terrifiés à l'idée d'être tués par une femme. Ils craignent de ne pas recevoir la récompense des "72 vierges au paradis".

     

     

     

    http://www.7sur7.be

     

     

     

     

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    La domination masculine tente par tous les moyens de faire revenir femmes et enfants sous le joug du patriarcat.

     

    Un autre aspect de la domination masculine est la sexualité qui est vue par eux comme un pouvoir absolu sur les corps. 
    Depuis quelques années, les masculinistes (les adeptes de la domination masculiniste) mettent en œuvre une stratégie médiatique très efficace pour que les femmes acceptent de se soumettre à leur vision de la sexualité.
    Dans leur couple, ils exigent :
    - des femmes dévouées sexuellement (devoir conjugal),
    - des femmes tolérantes (union libre),
    - des femmes hyper-sexuelles (union libre avec femme libertine).
    Et d’une manière générale, pour leur consommation sexuelle, les adeptes de la domination masculine exigent des femmes et des filles qu’elles soient :
    - hyper-sexualisées (tant sur le plan du vêtement que du comportement),
    - disponibles sexuellement (preuve d’épanouissement, selon eux).
    Les masculinistes recherchent donc une situation encore plus favorable que le patriarcat d’antan.
    Adhésion féminine
    Pour arriver à leurs fins, les masculinistes médiatisent fortement ces thèmes. Comme les  masculinistes sont majoritaires dans les médias, peu de voix les contredisent. Des personnalités célèbres s’en font même les porte-parole. 
    Ainsi, peu à peu, obtiennent-ils une large adhésion dans le public, même auprès des femmes et des filles. Ce conditionnement fonctionne si bien qu’aujourd’hui la majorité d’entre elles ont la conviction qu’elles ne peuvent être aimées sans se soumettre et s’hyper-sexualiser. 
    En acceptant cela, 
    les femmes ne font que scier la branche déjà très fragile 
    sur laquelle elles se trouvent.
    Sexe et amour
    C’est une grave erreur de croire que l’amour d’un homme s’obtient avec le sexe. Pour l’homme, amour et sexe peuvent être dissociés (organes sexuels externalisés). D’ailleurs, la femme dont ils tombent amoureux a en général une sexualité normale. Elle n'obéit pas aux exigences sexuelles masculines.
    La femme associe en revanche amour et sexe (organes sexuels internalisés, l’homme entre dans son corps, dans son intimité). Ainsi les femmes projettent-elles que les hommes tombent amoureux d’elles par le sexe, de la même façon qu’elles tombent amoureux de l’homme qui les pénètre. 
    Violence conjugale
    Accepter la sexualité de la domination masculine, c’est accepter la violence conjugale.
    Un homme avec de telles exigences n’a aucun respect pour la femme qui est reléguée au rang d’objet. C’est pourquoi, les femmes très sexuées sont peu respectées par leur partenaire et risquent fortement la violence conjugale.
    La violence conjugale est la plupart du temps non perçue par les femmes qui la subissent. Elles nient même cette violence (ce n’est rien, ce n’est pas grave, etc.). Un système de croyances patriarcales bien rôdées est le fondement de ce déni : 
    - c’est bon pour le couple, 
    - il faut en passer par là pour l’homme, 
    - le bonheur passe par le sacrifice de soi, 
    - la souffrance amène la joie, etc.
    Dans ce contexte, lorsque la femme s’autorise elle-même une relation extra-conjugale, l’homme dominant devient en général très agressif, allant parfois jusqu’au meurtre : « sa chose » lui appartient, elle n’a pas le droit de le tromper.
    Les femmes qui savent se faire respecter et n’entrent pas dans cette exigence d’hyper-sexualité ont donc moins de risque de violence conjugale. 
    La compagne dévouée sexuellement
    Comme par hasard, le thème du devoir conjugal revient en force dans les médias. 
    Les femmes d’aujourd’hui sont modelées dès leur plus jeune âge par des stéréotypes patriarcaux qui les engagent à être de bonnes épouses bien soumises à leur homme tout puissant.
    Le magazine FLAIR
    Un exemple de propagande dénoncé par Patric Jean, spécialiste du masculinisme et auteur du film « la domination masculine » [1].
    Patric Jean s’est insurgé hier sur sa page Facebook à propos d’un article du magazine FLAIR (un magazine populaire en Belgique) qui dit grosso modo aux femmes : « soumettez-vous sexuellement à votre compagnon ! ». 
     
     
    Quelques commentaires d’internautes à propos de cet article (commentaires avec statut « public ») :
    « ça ressemble en plus trash aux conseils donnés aux jeunes épouses autrefois style (au pire) série Brigitte ou plus récemment ds les années 50 /60 au manuel d'éducation domestique à l'usage des jeunes filles. Faire sa plume en attendant son mari après avoir fait le ménage pour le retour du guerrier, la cuisine - le pauvre a mangé au resto à midi etc. Le registre est juste plus cul, mais l'idée est intacte en effet: sans zhom, point de salut, donc pour garder son zhom , voilà ce qu'il faut faire (version 2013) »
    « Ce qui gêne dans cet article n'est pas le fait d'avoir des relations sexuelles avec son conjoint, mais les motivations de ces relations sexuelles : "mettre de l'eau dans son vin" = c'est juste un mauvais moment à passer mais c'est parce que sinon votre "zhom" ira voir ailleurs mais surtout ne lui montrez pas que vous êtes fatiguées et prenez sur vous pour ne pas froisser son égo en lui donnait l'impression (réelle) de vous forcer... »
    « C'est clair, banaliser les relations "pour faire plaisir" c'est réhabiliter la notion de devoir conjugal, c'est ça qui est super violent »
    « Ca véhicule l'idée reçue que le sexe c'est une corvée pour les femmes, alors que ce n'est pas le cas lorsque leur partenaire sait faire monter le désir, et aussi qu'il y a des femmes plus "demandeuses" que leur conjoint. Ca véhicule l'idée reçue que le sexe est pour les hommes uniquement physiologique, qu'ils ont "besoin" parce que la vessie pleine et les effets du sommeil paradoxal leur procurent une érection matinale, alors que beaucoup d'entre eux préfèrent un désir partagé et un échange sensuel à une bête éjaculation. Ca véhicule l'idée reçue qu'un homme insatisfait ira "voir ailleurs", et que le sexe est un moyen de retenir son homme, alors que l'infidélité est un simple mode de fonctionnement psychologique, chez les hommes comme chez les femmes.. on ne quitte pas et on ne reste pas avec quelqu'un simplement parce que c'est "un mauvais coup" ou "un bon coup" au lit... »
    L’union libre
    L’union libre est un idéal masculin auquel la plupart des hommes renoncent par respect pour leur compagne. Mais les masculinistes revendiquent haut et fort la possibilité de relations extra-conjugales avec l’accord le plus complet de leur compagne.
    Pour eux, une compagne qui n’accepte pas leurs relations extra-conjugales est une femme jalouse et déséquilibrée psychiquement. En revanche, si leur compagne s’amuse à faire de même, ces hommes deviennent extrêmement violents, allant jusqu’à la menacer de mort, voire exécuter leur menace.
    Catherine Laborde
    Un exemple de propagande d’union libre. Présentatrice météo de TF1, Catherine Laborde est une femme très médiatisée et aimée de son public.
    Depuis quelques années, Catherine Laborde fait publiquement l’éloge de son union libre avec Thomas Stern, l'homme avec lequel elle vit une relation tumultueuse depuis plus de quinze ans.
    En 2007, Catherine Laborde a publié « La Douce joie d'être trompée », un ouvrage dans lequel elle parlait de sa souffrance et de sa joie d’être trompée :
    « "Je connais le chagrin, la douleur, la haine, l'humiliation, la solitude, les hurlements silencieux, la nausée, le poids dans la poitrine, le ventre, la nuque, l'indifférence totale au monde et à ses appétits, le vieillissement brutal du corps, la jeunesse inutile du cœur et le désir effréné d'étreintes impossibles. Je sais. Et pourtant, je veux bien souffrir encore toutes ces horreurs. Non pas que j'en aie tiré la moindre sagesse, non pas que la douleur s'émousse avec l'habitude. Seulement voilà : l'incroyable arrive. Dans la solitude du chagrin, lentement, insensiblement, la douce joie naît. Et c'est bien la même cause qui produit la douleur, puis la joie." » [2]
    En février 2012, Catherine Laborde va encore plus loin avec « Si tu ne m'aimes pas, je t'aime »,  un ouvrage écrit à quatre mains avec son compagnon :
    « Dans cet écrit, Catherine Laborde et Thomas Stern nous exposent leur histoire d'amour, en toute vérité. Une telle vérité qu'elle en devient dérangeante, voire même malsaine et sordide. Au fil des pages, le malaise s'installe et nous sommes gênés d'assister à ce déballage, très exhibitionniste. Les parties rédigées par Thomas Stern sont sans doute les plus violentes par sa franchise provocatrice, sa quasi fierté, son indécence, surtout face à la douleur éprouvée par Catherine Laborde, dont on comprend parfois avec peine l'acharnement à (re-)conquérir cet homme qui lui fait du mal ». [2] 
    Ses ouvrages ont été fortement médiatisés, notamment par plusieurs émissions de grande audience. Par exemple, l’émission du 13 février 2010 de Mireille Dumas : Vie privée, vie publique - invités : Catherine Laborde et Patrick Poivre d'Arvor, 
    Un internaute a créé une parodie de cette émission (parodie un peu extrême, mais très intéressante) : Parodie de Vie privée, vie publique avec Catherine Laborde 
    Robert Misrahi
    Autre bel exemple de propagande d’union libre. Le 5 juin 2012, François Brusnel a interviewé le philosophe français Robert Misrahi dans son émission « le Grand Entretien ».
    Au cours de l’émission, cet homme de 86 ans parle de sa liaison extraconjugale, de la manière dont il en avait parlé avec son épouse et de son absence totale de culpabilité.
    Son épouse ne peut s’exprimer sur le sujet, puisqu’elle est décédée il y a quelques années. Peu après sa mort, Robert Misrahi a même écrit un livre intitulé « Savoir Vivre: Manuel à L'usage des Désespérés » (octobre 2010) dans lequel il révèle avoir pensé au suicide. [4]
    Or, le suicide est précisément une des armes des hommes violents (violence conjugale), notamment lorsqu’ils perdent leur « chose » ou l’objet de leur domination. 
    L’union libre avec une compagne libertine
    Le comble de la domination masculine est l’union libre avec une compagne libertine qui participe aux ébats sexuels extra-conjugaux de son homme voire pratique d’autres formes de libertinage tel l’échangisme, le sado-masochisme, etc.
    La sexualité de la femme est très différente de celle de l’homme. Le libertinage est donc une demande masculine, comme la prostitution. Les femmes qui acceptent de telles pratiques le font la plupart du temps par amour pour leur compagnon et/ou de peur de le perdre. 
    Lorsque les femmes sortent du libertinage (comme de la prostitution d’ailleurs), elles parlent de leur souffrance et de la misère humaine que l’on trouve dans ce milieu. L’expression que l’on entend souvent chez les ex-libertines, c’est : « J’ai été une prostituée gratuite ».
    Catherine Robbe-Grillet
    Une propagande pour l’union libre avec une compagne libertine : Catherine Robbe-Grillet, la femme du romancier et cinéaste Alain Robbe-Grillet (décédé en 2008). 
    En octobre 2012, alors qu’elle a 82 ans, Catherine Robbe-Grillet sort un livre intitulé « Alain » dans lequel elle raconte notamment les aventures sado-masochistes du couple : "Alain".
    « A travers un abécédaire aux entrées parfois surprenantes (citons "bassine à confiture", "tube d'aspirine", "ketchup", "cactées" ou "godemiché"!), on découvre l'intimité et le quotidien de ce couple sulfureux - ceux qui avaient lu Jeune Mariée, le journal de Catherine Robbe-Grillet, en savaient déjà quelque chose (notamment sur l'impuissance sexuelle de l'écrivain-phare du Nouveau Roman, son imaginaire voyeur et volontiers pédophile). Car, derrière son allure de petite dame (aujourd'hui âgée de 82 ans !) qui pourrait enseigner le catéchisme se cache une autre femme, une autre identité : Jeanne de Berg. Une célèbre "dominatrice" et "maîtresse de cérémonie", adepte des pratiques sadomasochistes - une activité à laquelle elle avait été initiée il y a bien longtemps par son mari. » [5]
    Catherine Robbe-Grillet a bien sûr été fortement médiatisée, notamment dans des émissions de grande audience. Par exemple, un passage remarqué dans l’émission de Ruquier « On n’est pas couché » :
    Commentaire d’un internaute non conditionné par cette pensée masculiniste : « Le problème de cette femme, c’est qu’elle est en décalage complet avec les années 2012. Sur le plateau d Apostrophe, dans les années 70 certains écrivains n’hésitaient pas à faire l’apologie des "amours sans tabous», évoquant leurs expériences sexuelles avec des mineures en Asie ou en Europe, car la justice était très "cool" avec la pédophilie. Des dizaines de films de l’époque ne pourraient plus être diffusés dans nos salles car trop subversifs, dont une majorité de metteurs en scène italiens  (Albicoco, Marco Ferreri).Madame Robbe-Grillet choque, qu’on le veuille ou non lorsqu'elle compare la vie sexuelle de son couple avec celle du couple Sartre-Simone de Beauvoir, qui recrutaient parmi leurs élèves étudiantes lesquelles pourraient partager leur lit. Lorsque l’on pense d’une part, que cette femme a certainement des enfants et des petits enfants ,et que son défunt mari n’est plus là pour juger si oui ou non il aurait cautionné la publication de ses confidences sur ses fantasmes, on se pose la question de l’opportunité de l’inviter dans un talk-show a grande écoute, même tardive. Cette femme a créé visiblement un malaise général hier soir. N.Polony était encore plus pale que d’habitude, Djaidani a failli tomber de sa chaise, Caron ne savait plus quel passage du livre aborder, bref, l’envie de "gerber" était latente ou d’un "fou rire " nerveux. » [1]

     

     

    La condition de la femme n’a jamais été autant en péril qu’aujourd’hui, et ceci sur une question fondamentale : la maternité.
    Pourquoi ? Parce que les mouvements masculiniste s’attaquent directement à la notion de maternité en tentant de dissocier l’enfant de la mère. 
    Les gays non-féministes (gays n’ayant pas d’intérêt pour la condition de la femme) adhèrent à cette idéologie masculiniste, car ils veulent eux aussi procréer en se passant des mères. 
    La base de cette idéologie masculiniste est :
    - mère et père, c’est la même chose,
    - une mère porteuse peut fabriquer un enfant pour autrui, 
    - les enfants sont mieux avec le père, car la mère est folle et manipulatrice.
    Comme les masculinistes et les gays sont majoritaires dans la politique et les médias, ils obtiennent une large adhésion, même auprès des femmes.
    Pour faire passer leurs lois en toute discrétion, les masculinistes utilisent activement le lobbying et agissent dans la mesure du possible dans un grand silence médiatique, avec un beau discours éthique, égalitaire, généreux et plein de compassion.
    Actuellement, deux projets de loi très importants concernent cette idéologie :
    - le projet de loi « Mariage pour tous »,
    - le projet de loi pour forcer la résidence alternée au moyen du Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP).
    La dé-maternalisation des femmes
    Pour obtenir des enfants sans mères,  les masculinistes et gays non-féministes s’engouffrent dans toutes les brèches. 
    Beaucoup de ces brèches sont des projets féministes que les masculinistes détournent à leur profit. Par exemple : les études genre, l’égalité des droits, l’égalité des tâches, etc. 
    Voici trois stratégies de cette dé-maternalisation :
    - la disparition des mots mère et père dans le code civil (disparition de la notion de maternité),
    - la Gestation pour autrui (GPA ou « mères porteuses »),
    - le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP ou « bouclier des pères incestueux).
    La proposition de loi pour le mariage homosexuel intitulée « mariage pour tous »  intègre les deux premières stratégies. Cette proposition de loi en apparence bien innocente est donc une mise en danger de la notion de maternité dont peu de femmes conçoivent l’ampleur.
    Une prise de pouvoir sur les utérus
    Cette idéologie consiste à retirer aux femmes leur dimension de mère (la maternité) et à prendre le pouvoir sur leur utérus.
    De tous temps, les femmes ont su que leur utérus ne leur appartenait pas. Voir l’article : L'utérus des femmes ne leur appartient-pas.
    S’agissant de la même captation des utérus et de la maternité, les pro-SAP sont souvent pro-GPA et vice-versa. Le but est clair : se passer des mères pour avoir des enfants. 
    Pour ces hommes, les femmes n’existent pas. Seuls les utérus existent et ces utérus appartiennent aux hommes. Voir la page masculiniste : Les femmes ne servent plus à rien. Il ne leur reste plus que des utérus 
    Les masculinistes exigent un droit sur les utérus
    Les masculinistes exigent depuis toujours un droit sur l’utérus et le corps des femmes. Et ils l’obtiendront si les femmes ne réagissent pas.
    Une autre de leur stratégie est de réclamer l’obligation pour la femme d’obtenir l’accord de son partenaire pour avoir une contraception :
    « Les groupes d’hommes réclament aussi le droit d’avoir un pouvoir de co-décision sur la poursuite ou non d’une grossesse, sur la décision d’avoir ou non des enfants (c’est-à-dire sur la liberté, pour une femme, de décider ou non d’avoir une contraception). Cet aspect de leur discours n’est pas toujours très aisé à déceler et c’est pourtant le plus dangereux. » [1]
     [1] Excellent article sur la percée de la mouvance masculiniste en Occident : La percée de la mouvance masculiniste en Occident 
    Une société de mères porteuses (volontaires ou « à leur insu »)
    Le résultat de ces stratégies masculinistes (soutenues par les gays non-féministes) est une société sans mères, avec mères porteuses et prise de pouvoir sur les utérus.

     

     

    La stratégie masculiniste du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est certainement la plus terrifiante, puisque les enfants sont enlevés à la mère après qu’elle ait révélé des abus sexuels paternels.
    Avec le SAP, les femmes sont « désenfantées », donc réduites à leur insu à l’état de mères porteuses, avec  la contrainte supplémentaire de devoir payer une pension à l’homme qui a abusé de leur confiance (utilisation de leur utérus) et qui continue d’abuser sexuellement des enfants.
    Alors les femmes veulent-elles réellement être reléguées à la fonction de fabrique d’enfants qui sont ensuite donnés aux géniteurs ? Et de payer une pension à cet homme jusqu’à la majorité des enfants ? 
    Ce risque n’est pas à négliger. Aujourd’hui il concerne 1 femme sur 5 (celles confrontées à des hommes violents – voir plus loin) qui peut se voir « désenfanter » à cause du Syndrome d’Aliénation Parentale utilisé massivement par les associations de pères.
    La disparition de la notion de maternité du code civil
    Finalement les mots de mère et père ne disparaîtront peut-être pas du code civil grâce à un amendement sur de la proposition de loi « mariage pour tous » (mariage homosexuel). Voir l’article : Les termes "père" et "mère" ne devraient pas disparaître du code civil
    Mais comme toujours, les masculinistes ne lâchent jamais. Ils reviendront probablement avec une autre proposition de loi jusqu’à ce qu’ils obtiennent gain de cause. 
    Les études genre sont des recherches essentielles dont l'objectif est de supprimer les inégalités et les discriminations liées au sexe, notamment pour les femmes, en supprimant dès la naissance tout formatage basé sur le sexe. 
    Mais s’il y a bien un seul endroit où l'identification par le sexe ne doit surtout pas être supprimée, c’est en matière de maternité et de paternité
    Or, comme par hasard, à l’occasion de la proposition de loi « mariage pour tous », la première application des études genre a été la proposition de faire disparaitre les mots mère et père du code civil. Donc la disparition de la notion de maternité. 
    Le Mouvement Mondial des Mères (MMM) s'est immédiatement inquiété de ces changements dans le code civil. Le MMM est une ONG apolitique et non confessionnelle dont l'objet est d'entendre et de faire entendre la voix des mères.
    Pour plus d’informations, voir l’article : Disparition de la notion de maternité dans le code civil 
    La Gestation pour autrui (GPA) : la marchandisation du corps des femmes
    « La GPA, c’est le patriarcat dans toute sa splendeur : la femme réduite à une unité de production au service des hommes. »
    Le projet de loi « mariage pour tous » (mariage homosexuel) a pour objectif de supprimer les inégalités et les discriminations liées à l’orientation sexuelle dans la question du mariage et du droit à l’adoption. C’est un projet important et une réflexion essentielle.
    Toutefois, à l’occasion du projet de loi « mariage pour tous » qui ouvre  le mariage civil et l’adoption d’enfants à des couples homosexuels, les masculinistes et gay non-féministes se sont engouffrés dans la brèche pour revendiquer haut et fort la légalisation des mères porteuses (GPA).
    Par exemple, lors des auditions « Mariage pour tous », Elisabeth Badinter a plaidé pour la GPA. Voir son intervention : Auditions mariage pour tous: Elisabeth Badinter plaide pour la GPA 
    Autre exemple : voici un article qui résume les réflexions sur la PMA et la GPA lancées à l’occasion du projet de loi « Mariage pour tous » : Mariage gay, adoption : faut-il prévoir la procréation médicale assistée dans la loi ? (le titre de l’article ne mentionne évidemment pas la GPA, bien que l’article en parle).
    Extrait de l’article : « La PMA doit-elle être intégrée au projet de loi sur le "mariage pour tous" ?  - Au contraire, la question de la procréation doit-elle être déconnectée du mariage ? - Êtes-vous favorables au recours à une mère porteuse pour les couples stériles ou gays ? »
    La GPA : les femmes deviennent des unités de production
    Sous prétexte que les lesbiennes revendiquent la PMA (Procréation médicalement assistée ou insémination artificielle), certains gays estiment qu’ils devaient obtenir la GPA (la Gestation pour autrui ou mères porteuses) en contrepartie.
    La demande des lesbiennes ne pose aucun problème, puisqu’il y a simplement utilisation d’une semence pour féconder une femme. 
    En revanche, la demande de gays implique l’utilisation d’une femme qui devient une unité de production pendant 9 mois avec abandon de l’enfant à la naissance. Cette demande nie l'asymétrie reproductive, puisque les hommes n'ont pas d'utérus. 
    Or cette asymétrie ne doit en aucun cas avoir pour conséquence de réduire les femmes à l'état d'unités de production pour les hommes, au même titre que des animaux d'élevage, comme des vaches ou des poules.
    Certains gays non-féministes lancent parfois sur un ton de plaisanterie que « la femme est une sous-race. ». Est-ce la raison pour laquelle la condition de la femme est de devenir un animal d’élevage ?
    Si les gays veulent absolument des enfants nés de leur patrimoine génétiques, qu’ils  attendent l'existence d'utérus artificiels.
    Voir cet article très complet : Gestation pour autrui (GPA) et condition de la femme 
    Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) : une stratégie des associations de pères pour les pères incestueux
    Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est l'outil des masculinistes et des pro-pères brandi dans les cas de dénonciations d'abus sexuels paternels. 
    C’est la raison pour laquelle le SAP a été dès le début été nommé le "bouclier des pères incestueux".
    Patric Jean, spécialiste du masculinisme
    Voici ce que dit Patric Jean du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) : 
    « Patric Jean: "Absolument le SAP n'est un "syndrome" que dans la tête des masculinistes. Ils m'ont clairement expliqué, lorsque je me suis fait passer pour l'un d'entre eux à Montréal, que ce n'était qu'une stratégie dans leur lutte pour la défense des hommes (contre le féminisme). Le SAP a effectivement été inventé par un pro-pédophilie qui affirmait "soyez fier d'être pédophile" et qui a été assassiné par son fils... Le concept est aujourd'hui tourné contre les femmes qui dénoncent des abus sexuels. Les associations de pères ont toute une stratégie pour les pères incestueux dont le SAP est le fer de lance." » (15 janvier 2013)
    Patric Jean est un spécialiste du masculinisme, auteur du film « La domination masculiniste » : "La domination masculine", le film de Patric Jean 
    Le féministe Leo Thiers-Vidal
    La cible du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAO) est les mères qui dénoncent les abus sexuels paternels. 
    A cause de cette théorie, ces mères perdent leurs enfants quand elles tentent de les protéger et les enfants sont donnés aux pères agresseurs.
    C’est pourquoi le féministe Leo Thiers-Vidal a beaucoup dénoncé le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP). Voir l’article : Léo Thiers-Vidal (1970 - 2007). Il a même créé une association « Mères en lutte ». Voir l’article : L'association "Mères en lutte" créée par Leo Thiers-Vidal 
    Les innombrables mères confrontées à des hommes violents
    Les pères agresseurs d’enfants sont toujours des hommes violents qui pratiquent la violence conjugale/familiale.
    Cette violence est la base du masculinisme, un patriarcat pur et dur qui donne à l’homme un droit absolu sur femme et enfants. 
    Pour comprendre ce que vivent ces mères, se reporter à l’excellent ouvrage : "Femmes sous emprise" de Marie-France Hirigoyen. Et l’ouvrage de référence: "La haine de l'amour. La perversion du lien" de Maurice Hurni et Giovanna Stoll. Ce second ouvrage décrit le processus de la violence qui commence par la violence psychologique pour finir par la violence physique et les abus sexuels (l’emprise finale).
    SOS Les Mamans est une association des mères confrontées à ces hommes violents. Elles luttent activement contre cette théorie du SAP utilisée pour « désenfanter » les mères et donner les enfants aux pères agresseurs. Voir leur page : Fausses allégations ou théorie déviante du SAP 
    Dans un article, Céri alias Donde Vamos explique particulièrement bien cette mécanique des masculinistes pour enlever les enfants aux mères : Les masculinistes, une menace pour les droits des femmes et des enfants 
    Ces mères confrontées à des hommes violents et abuseurs sexuels de leurs enfants sont loin d’être des cas isolés.
    - 1 femme sur 5 vit avec un homme violent (chiffres d’Amnesty International - campagne « une femme sur 5 vit avec un criminel),
    - 1 enfant sur 5 est abusé sexuellement, en majorité par des proches (chiffres du Conseil de l’Europe), donc par des pères, grands-pères, oncles, frères, etc. puisque 95% des délinquants sexuels sont des hommes,
    On sait donc qu’un grand nombre de femmes vont se retrouver face à un homme violent qui tentera de les « désenfanter » tout en abusant sexuellement des enfants (la violence conjugale/familiale conduit aux abus sexuels) et en réclamant une pension (l’argent est le moteur des demandes de garde des hommes violents).
    Cet article sur l’affaire Klaus Kinski contient un message de l’organisation Safe Kids International sur la question des enfants donnés à des pères agresseurs : La fille aînée de Klaus Kinski accuse son père de l’avoir violée de 5 ans à 19 ans 
    Le lobby du SAP
    Le concept Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est soutenu par de puissants lobbies : les masculinistes, les associations de pères et les pédophiles.
    L’existence d’un lobbying pour un concept psychologique est totalement anormale et prouve que d’importants intérêts sont en jeu.
    Un exemple de ce lobbying : l'American Academy of Psychiatry and the Law qui décrit les pressions pour faire entrer le Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP) dans le DSM V : Pressions pour faire entrer le SAP dans le DSM5 
    Autre exemple de lobbying : dans un article du 10 avril 2010 intitulé « Parental Alienation Awareness Day », des opposants au SAP donnent la liste des organisations pédophiles confirmées qui font la promotion du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP ou PAS en anglais) : PAS is a Scam. Le SAP est donc une véritable arnaque développée par Richard Gardner au service des abuseurs et des pédophiles.
    Le SAP : l’outil des masculinistes pour les pères incestueux
    Richard Gardner était un pro-pédophile notoire. Comment ose-t-on utiliser une théorie créée par un pro-pédophile pour gérer les dénonciations d’actes pédophiles? Voir l’article : Une théorie psychologique créée par un pro-pédophile pour prendre en charge les dénonciations d’abus sexuels sur enfants: de lanon-assistance à enfant en danger 
    Ce concept a été introduit dans toute la protection de l’enfance grâce au lobbying des masculinistes. Voir l’article : Comment les masculinistes et pro-pères ont pris la tête de la protection de l’enfance 
    A cause du SAP, lorsque les mères dénoncent les abus sexuels paternels, elles sont diagnostiquées comme folles et manipulatrices. Elles se voient alors retirer les enfants qui sont simplement donnés au père agresseur. Voir l’article : Les mères tombent dans un véritable piège quand elles dénoncent des abus sexuels sur leurs enfants 
    Richard Gardner, le créateur du SAP : un authentique monstre
    Voici quelques articles décrivant le pro-pédophile Richard Gardner.
    La vérité sur Richard Gardner, le Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP) et les fausses allégations(voir dans cet article, le florilège de citations pro-pédophiles de Richard Gardner)
    En mai 2003, Richard Garner s’est suicidé (version officielle) de façon épouvantable : de "multiples coups de couteau de boucher dans le cou et la poitrine". Son horrible suicide est occulté dans tous les articles pro-Gardner. Voici le lien sur le rapport d’autopsie du suicide de Richard Gardner : Rapport d'autopsie de Richard Gardner 
    Wikipedia, Google, etc. sont tous des médias masculinistes (pro-SAP) et comme par hasard, beaucoup de liens sur la mort de Gardner disparaissent progressivement. Voir l’article : Wikipédia : où sont les femmes ? Contributeurs et sujets de contribution très majoritairement masculins 
    Un avis mortuaire de Gardner que l’on trouvait encore récemment a disparu. Son auteur saluait la mort d’un authentique monstre. Voici un article qui a repris cet avis mortuaire : Dr Richard A. Gardner":an authentic American monster"
    A cause de cet homme, des dizaines de milliers d’enfants ont été donnés à des abuseurs et ont vu leur vie détruite.
    En France : projet de loi pour légaliser le SAP
    Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) a réussi à se propager dans toute la protection de l’enfance grâce à la magistrature. Cela pose bien sûr la question des réseaux pédophiles (Richard Gardner était expert judiciaire pour les tribunaux). 
    Après l’avoir introduit par la magistrature, les pro-SAP tentent maintenant de faire entrer leur concept pro-pédophile dans la loi.
    Pourtant, le SAP a toujours été rejeté par la communauté scientifique internationale. Voir l’article : La communauté scientifique internationale s'oppose au Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) : instances et professionnels. Alors comment la magistrature, la protection de l’enfance et maintenant la loi osent-ils utiliser ce concept ?
    La situation en France est très grave : une proposition de loi masculiniste est en cours pour condamner les mères au pénal et au civil en utilisant le SAP. Dans cette proposition de loi, le SAP est utilisé pour criminaliser les mères qui refusent la garde alternée aux pères incestueux. Voir cet article : Projet de loi pour forcer la résidence alternée au moyen du Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP)  
    Pour faire passer cette loi, les masculinistes ont une stratégie de lobbying et s'adressent directement aux députés, sénateurs et eurodéputés. C'est très préoccupant. Voir cet article: Projet de loi sur la résidence alternée: les masculinistes s'adressent directement aux députés, sénateurs eteurodéputés 
    En Italie, des opposants aux SAP tentent aussi d’empêcher que ce concept entre dans la loi. Grâce à leur lutte, le Ministre de la Santé italien a récemment dénoncé publiquement le SAP. 
    Pourquoi la France ne ferait-elle pas de même : déposer des interpellations gouvernementales contre ce concept ? Voici un article qui propose cette action, avec le texte original et la traduction française de la dénonciation du SAP par le Ministre italien: Déposer d’urgence des interpellations gouvernementales à propos de l’inexistence scientifique du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) 
    Le masculinisme : un mouvement réactionnaire
    Auparavant, la plupart des enfants naissaient dans le cadre du mariage et les enfants nés hors mariage étaient rarement reconnus voire rejetés par leur père. Les familles vivaient sous le règne d’un patriarcat tout-puissant.
    Peu à peu, notamment grâce au féminisme, les femmes sont devenues plus autonomes, avec d’avantage de droits et de libertés. Pour certaines, le mariage a perdu de son attrait et beaucoup d’enfants sont nés hors mariage, faisant perdre au patriarcat de sa puissance.
    Pour les hommes violents, cette perte de la toute-puissance sur la famille était intolérable : femme et enfants ne leur « appartenaient » plus. Ils ont alors créé le masculinisme, un mouvement réactionnaire qui veut contraindre les femmes à retourner sous le joug du patriarcat.
    Quand les femmes refusent ce joug, ils tentent par tous les moyens de rétablir leur pouvoir inconditionnel sur leurs enfants, en élargissant désormais ce pouvoir aux enfants nés hors-mariage.
    Voici quelques étapes de ce patriarcat pur et dur pour les enfants :
    - droit de visite avec sanction au pénal en cas de non-présentation, autorité parentale conjointe,  garde alternée possible (loi de 2002 pour la France),
    - garde alternée obligatoire, avec sanction au pénal en cas de refus en utilisant le Syndrome d’Aliénation Parentale (projet de loi en cours pour la France),
     – garde et autorité parentale complètes pour le père (déjà le cas quand il y a utilisation du SAP),
    Sous couvert de coparentalité se cachent en réalité une foultitude de mouvements masculinistes dont le slogan est « les papas = les mamans » (idéologie qu’un papa peut remplacer une maman).
    La Gestation pour autrui (GPA ou mères porteuses) constituera le pas suivant : il n’y aura même plus besoin de mères.
    Le petit guide d’autodéfense intellectuelle contre le masculinisme 
    Voici une excellente page du collectif Stop Masculinisme : Contre le masculinisme. Petit guide d’autodéfense intellectuelle  
    Début de cette page : "Cette brochure se veut un outil « d’autodéfense intellectuelle » : nous proposons ici quelques pistes pour identifier les discours et les pratiques de ce mouvement réactionnaire que l’on nomme le masculinisme, de manière à pouvoir mieux les repérer et les « démonter »"
    Le collectif Stop Masculinisme est attentif aux rapports de domination à tous les niveaux, donc aussi dans le langage : "Le langage, comme tout outil, n'est pas neutre. Une vieille règle de grammaire prétend que « le masculin l'emporte toujours sur le féminin ». Ce n'est pas anodin : la domination d'un genre sur l'autre s'exprime jusque dans la langue et cela contribue à l'invisibilisation des femmes. C'est pourquoi nous préférons chercher un langage qui n'oublierait personne. Dans cette brochure, vous croiserez donc des « militant.e.s » qui vous enjoindront à rester « vigilant.e.s ». Cette façon de travailler les mots est un des pas vers plus d'égalité."
    Sur la page du collectif Stop Masculinine cité ci-dessus, vous pouvez télécharger une petite merveille « un petit guide d’autodéfense intellectuelle contre le masculinisme » qui résume parfaitement les différentes thématiques favorites du masculisme :
    - « les pères bafoués »,
    - « les violences subies par les hommes »,
    - la prétendue « crise de la masculinité ».
    Ce guide peut être téléchargé en cliquant sur « ici » ou « là » sur la page du collectif. Vous pouvez aussi y accéder ici: Le guide 
    Quelques têtes de chapitre de la 2ème partie qui se nomme "Que cache la « cause » des pères?":
    - Derrière la bataille pour la garde alternée : l'argent
    - La plupart des litiges portent sur la pension alimentaire
    - La garde alternée, ou comment se décharger sur d'autres femmes
    - Les mères manipulatrices et le « Syndrome d'Aliénation Parentale »
    - En filigrane : remettre en cause le droit des femmes à disposer de leur corps
    Quelques têtes de chapitre de la 3ème partie qui se nomme "Hommes battus, femmes violentes?":
    - La violence d'hommes contre d'autres hommes
    - La « co-responsabilité » de la violence : une théorie dangereuse
    - Le viol des hommes : une pratique d'hommes contre d'autres hommes
    - Le viol : un crime contre les femmes
    - Rendre les femmes responsables du suicide des hommes
    Voir cet article sur le masculinisme et sa propension à utiliser le thème de la mort : Le masculinisme et la mort
     
     
     
     
    Source : http://guillaumeleroy.blogspot.fr
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  • Cet été, AIDOS et Audio doc, en partenariat avec Tostan Sénégal, ont organisé à Thiès au Sénégal un atelier de formation sur la production d’audio-documentaires sur les Mutilations Génitales Féminines/Excision (MGF/E). A travers son programme pour l’abandon de l’excision au Mali « Protéger la Prochaine Génération », Equipop a été conviée à assister à cette formation.

     

    Audio-documentaires sur les Mutilations Génitales Féminines au Sénégal

     

     

    Cette formation visait le renforcement de capacités des radios et des ONG dans la production d’audio-documentaires sur la Mutilation Génitale Féminine/Excision, afin d'amener les radios à produire davantage de contenus sur cette thématique. L'objectif est de lutter plus largement contre l'excision dans les pays en utilisant les radios, qui permettent d'atteindre les communautés, aussi bien dans les zones urbaines que dans les zones rurales. Une démarche qui fait écho aux actions du réseau Alliance Droits et Santé, dont Equipop est membre fondateur, et qui travaille avec les radios communautaires pour créer des programmes afin de sensibiliser les communautés sur les droits et la santé des filles et de libérer la parole sur ces sujets.

    Programme de lutte contre l'excision en Afrique via les radiosLors de cette formation les participant-e-s ont eu l’occasion de créer plusieurs audio-documentaires. Equipop s’est penchée sur la question des traumatismes post-excision en interviewant des femmes victimes d’excision, une sexologue et un sociologue pour partager leurs expériences et interpeller sur les conséquences néfastes de l’excision.


    Cet audio-documentaire de 12 min, que vous pouvez écouter en cliquant sur ce lien, sera diffusé prochainement avec les 2 autres productions de la formation sur des radios FM au Burkina, Mali et Sénégal.

     

     

     

    http://www.equipop.org

     

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  • Une adolescente court pour les femmes autochtones disparues ou assassinées

     

     

     

     

    Une Manitobaine de 16 ans va courir 100 kilomètres dans les quatre prochains jours pour sensibiliser les gens au dossier des femmes autochtones disparues ou assassinées.

    Tracie Leost a entamé sa course mercredi matin à Oak Point au Manitoba et la terminera à La Fourche à Winnipeg samedi au monument à l'effigie des femmes autochtones disparues ou assassinées.

    La coureuse espère ainsi conscientiser les Manitobains à un problème qui selon elle doit être réglé.

     

     

    Cliquez ici pour écouter l'entrevue de Tracie Leost à l'émission le 6 à 9 

     

     

     

    Elle affirme qu'une disparition peut arriver à n'importe quel endroit et à n'importe qui.

    Avec cette course, elle souhaite inspirer d'autres personnes à suivre ses traces.

    L'adolescente amasse aussi de l'argent pour la fondation Families First, une organisation qui aide les familles des femmes autochtones disparues ou assassinées.

     

     

     

     

    http://ici.radio-canada.ca

     

     

     

     

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  • Dans la grande tradition des films militants, Difret dénonce la condition des femmes en Ethiopie à travers l’histoire d’un procès qui a mobilisé tout le pays en 1996. Edifiant.

    « Difret » : féminisme à l’éthiopienne

     

     

     

     

    A 14 ans, Hirut vit dans un village à quelques heures de la capitale éthiopienne, Addis Abeba. Ce qu’elle aime, c’est aller à l’école. Mais un jour, elle est enlevée par un groupe d’hommes car l’un d’eux l’a choisie pour femme. Frappée, violée en guise de nuit de noces, elle se défend et tue son agresseur. Son acte la condamne à mort selon la tradition rurale, la même qui veut qu’un homme qui désire une enfant puisse l’enlever et la forcer à devenir sa femme.

    Difret raconte le combat d’une avocate pour que la loi soit la même pour tous dans ce pays où aucune femme n’avait jamais été acquittée pour légitime défense.

     

     

     

     

    L’histoire du parcours du film est au moins aussi intéressante que le film lui-même : le réalisateur, qui a fait ses études de cinéma aux Etats-Unis, s’est inspiré de la sœur d’un de ses amis, Meaza Ashenafi, pour ce personnage d’avocate pionnière des droits des femmes. Il a produit Difret avec son épouse, tous deux rivalisant de ténacité pour qu’il soit tourné non en anglais avec des acteurs plus ou moins célèbres comme certains financiers le lui ont proposé, mais en langue amharique (par ailleurs d’une belle musicalité). Et bien sûr, il a imposé des acteurs éthiopiens, comme Meron Getnet qui incarne l’avocate, héroïne d’une série devenue très populaire en Ethiopie.

    Difret pourrait-il aussi faire œuvre militante dans son propre pays ? Il faudra attendre la fin d’une polémique qui a éclaté en avril dernier, menée par une jeune éthiopienne accusant les auteurs d’avoir volé son histoire et qui aurait obtenu l’interdiction de la diffusion du film en Ethiopie (lire ici). Elle aurait également été dédommagée par la star Angelina Jolie, qui a adopté l’une de ses filles en Ethiopie et est devenue coproductrice du film en fin de parcours.

    Même si depuis 2004, les enlèvements et les viols sont passibles de 15 ans d’emprisonnement, même si l’avocate Meaza Ashenafi a reçu le prix Nobel africain, les enlèvements perdurent. Au fait Difret, cela veut dire à la fois « courage » et « oser ».

     

    Difret, de Zeresenay Berhane Mehari (Ethiopie, 1h39 ), avec Meron Getnet et Tizita Hagere. Produit par Haile Addis Production, distribué par Ad Vitam. Prix du public à Sundance (USA) et Berlin (section panorama), prix du jury à Valenciennes. En salles le 8 juillet 2015.

     

     

     

    http://www.lesnouvellesnews.fr

     

     

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  • Cette maman a la réponse parfaite contre le dress code sexiste de l'école de sa fille

     

     

    Après que sa fille a été exclue de cours pour une tenue jugée inappropriée, une mère a voulu mettre les choses au clair sur Facebook. Dans un long message, Deanna Wolf exprime sa colère de voir le corps des femmes ainsi stigmatisé alors que sa fille ne portait sur elle qu'un banal legging et un sweat XXL...

     

     

     

    Aux États-Unis comme ailleurs, le sexisme est encore loin d'être un mauvais souvenir. Alors que sa fille se rendait comme chaque jour à l'école, sa mère, Deanna Wolf, a eu la désagréable surprise d'être contactée par le collège Grissom High School en Alabama à cause de sa tenue jugée "inappropriée". Rien de bien scandaleux, si ce n'est que la jeune fille en question portait sur elle un simple legging et un sweat XXL de garçon. Il faut dire que le règlement de l'état sur ce point est plus que rigide :
    "Les élèves peuvent porter des pantalons de yoga serrés ou des leggings, à condition qu'ils mettent quelque chose de couvrant par-dessus comme un short, une robe ou encore une jupe ".
    En plus de devoir porter une couche supplémentaire de vêtement, celle-ci aurait également dû se conformer à une autre restriction : la longueur (7 centimètres maximum au-dessus du genou). Une pratique bien trop conservatrice pour Deanna Wolf, qui a donc décidé de pousser un coup de gueule sur Facebook la semaine dernière.

     

     

    "Écoles de la commune de Huntsville, je voudrais vous poser une question. Qu'enseignez-vous à nos enfants au sujet de la perception de leur corps ? Je voudrais que quelqu'un m'explique comment une telle situation peut se justifier. Pourquoi interdire l'accès aux cours à ma fille et l'isoler dans une salle, sous prétexte que l'un des employés de l'école se soit permis de donner une interprétation à sa tenue vestimentaire ?"
    Pour Deanna, l'école se soucie apparemment plus de la tentation que pourrait représenter sa fille aux yeux des garçons que de son éducation. C'est vrai que quand on regarde cette jeune fille, complètement noyée sous le poids de son sweat, on se demande bien comment sa tenue a pu être jugée inappropriée. Très remontée contre l'établissement, Deanna ne s'est donc pas gênée pour exprimer clairement son opinion :
    "Il est évident que de telles mesures ont été créées afin d'éviter que les filles soient une distraction pour les garçons. Cela propage l'idée selon laquelle une fille qui a des fesses (ou grand dieu des épaules !), serait à ce point scandaleux qu'il faudrait impérativement les cacher. Je n'en peux tout simplement plus de constater à quel point la société stigmatise le corps des femmes. Vous dites aux filles que leurs corps doivent être dissimulés et que les garçons sont incapables de se contrôler à la vue d'un corps féminin normalement habillé. C'est bête et avilissant pour les deux sexes. Sans compter que toute cette affaire montre bien à quel point l'éducation des filles est moins importante que celle des garçons et que leur droit à l'apprentissage est secondaire, face à la distraction qu'elles pourraient représenter pour le sexe opposé."
    Si la plainte justifiée de Deanna Wolf a trouvé un écho favorable sur les réseaux sociaux, il n'est pas certain que le gouverneur d'Alabama change le dress code des élèves de son État pour autant. Anti-avortement et anti-mariage gay, le républicain et très conservateur Robert J. Bentley ne devrait normalement pas monter au créneau pour supprimer ce genre de mesures sexistes...
    Déterminée à ce que sa fille comprenne la polémique, Deanna lui a donc expliqué qu'elle n'avait rien fait de mal et que c'était son école qui était en faute.

     

    PAR AUDREY SALLES-COOK

     

     

    http://www.terrafemina.com

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