Des garçons immergés dans une rivière polluée à Navotas City, au nord de Manille, trient les déchets pour collecter les produits recyclables.

Source: http://eurone.ws/P56cm

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(http://radioeveil.com)

Dans un article sur le site de Métro, dans lequel elle tient une chronique régulière, l'auteure, actrice et réalisatrice Ovidie[1] revient sur la pratique de la sodomie dans l'industrie du film porno, et explique pourquoi cette pratique reste polémique. 

Elle explique notamment qu'on ne laisse pas tout à fait le choix aux actrices de la pratique ou non: 

«La sodomie, c'est un peu le travail du dimanche pour l’employé lambda: on ne te l’impose pas, mais tu touches des compensations en plus du salaire de base, et on te fait comprendre que si tu veux un poste t’as intérêt à t’y faire.»

Et alors? Quel est le problème avec la sodomie? Ovidie précise: 

«On pourrait se dire que c’est super, on brise les tabous, on dédiabolise les pratiques anales, limite on oeuvre pour la libération sexuelle. Ouais, ouais. Ce serait vrai si la sodomie n’était pas toujours présentée comme une pratique rabaissante et de soumission. (...) Normalement c’est une pratique que l’on est censé intégrer dans ses ébats pour avoir plus de plaisir, non? Alors si c’est une pratique de plaisir, pourquoi cela est-il présenté comme une humiliation? Pourquoi ce qui est censé nous faire jouir se transforme en insulte? Le problème est la perspective qu’une pratique de plaisir puisse se transformer progressivement en nouvelle forme d’injonction. Il n’y a qu’à voir le nombre d’articles qui pullulent sur le net du genre «Comment convaincre sa copine de pratiquer la sodomie?» Je n’ai pas de problème avec le fait que l’on représente la sodomie à l’écran. En revanche j’ai un problème avec le fait que cela soit quasi systématique et toujours dans le même sens.

(http://www.slate.fr)

Cette image fait le buzz en ce moment sur les réseaux sociaux (et pour cause) :
- La première concerne la pédophilie dans les églises
- La deuxième concerne le tourisme sexuel infantile en Thaïlande
- La troisième concerne la guerre en Syrie
- La quatrième concerne le marché noir des organes vitaux ou les enfants sont les premières victimes
- La cinquième concerne la culture des armes aux États Unis
- La dernière concerne l'obésité infantile causée par l'industrie agro-alimentaire

Ce sdf habitant à sarasota plus connu sous le sobriquet de "boone" est agé de 51 ans et son vrai nom est Donald Gould. Dès son jeune âge, "boone" a effectué son service militaire auprès des marines pour ensuite aller étudier la musique à l'université de Michigan dans le but d'être un professeur de musique. Son diplôme en poche, il ne parviendra pas à être le professeur qu'il souhaitait être et s'est donc engagé à faire de petits boulots pour survivre. Après des années de galère, il se retrouve au bord du gouffre et devient un SDF.
Il reprit sa relation d'amour avec la musique en s'octroyant un piano et jouant dehors pour se faire quelques dollars. Un jour, une dame répondant au nom d'Aurore Henry l'a aperçu en train de jouer et fut captiver par sa musique. Elle prit la peine de le filmer pour revoir ses jolies notes à la maison et poster la vidéo sur YouTube. Elle venait de lui ouvrir les portes de la célébrité sans le savoir. Sa vidéo est devenue virale sur le net et obtenue 2 millions de vues en l'espace de 2 jours seulement. Actuellement avec un autre musicien rencontré en Floride, ils font le spectacle dans la rue et s'est même vu proposer d'animer le piano-Bar du week-end pour un bar de la ville. La réussite lui a finalement souri !

(http://buzzfil.net)